Mgr Fellay vient encore de frapper des prêtres de la Tradition. Nous y sommes habitués mais cette fois, ce sont les pères capucins de Morgon qui sont dans son collimateur. Rappelons-nous cependant que toute persécution, viendrait-elle d'ecclésiastiques, reste une grâce pour ceux qui la subissent.
Puissent les religieux de Morgon en profiter pour conforter leurs courageuses orientations.
Source : Traditions
Nous avons appris par diverses sources que le Supérieur général de la Fraternité Saint Pie X venait de signifier aux religieux de Morgon son refus de conférer la prêtrise aux deux diacres capucins qui devaient être ordonnés en juin. Les supérieurs de la FSSPX semblent coutumiers de telles mesures puisque déjà en 2012, quelques jours seulement avant les cérémonies du 29 juin, Mgr Fellay avait interdit d’ordination les candidats des dominicains d’Avrillé et des franciscains de Morgon sous le prétexte de l’attitude « non confiante » de ces communautés à propos du préambule doctrinal censé entériner le ralliement de la FSSPX à la Rome conciliaire.
Les capucins de Morgon ont régulièrement et charitablement manifesté leur désaccord avec les autorités de la FSSPX : que ce soit la recherche d'un accord purement canonique avec la Rome moderniste (sermon du RP Jean) ou le refus de célébrer et de participer au jubilé de la fausse miséricorde du Pape François. Mais il semble que Mgr Fellay ait aussi été très fâché que les pères capucins osent aider et soutenir moralement les prêtres persécutés par les autorités accordistes de Menzingen (abbé Morgan et autres). Ce qui a probablement décidé Menzingen à frapper les pères capucins est le soutien apportés par ceux-ci aux sept doyens dans l'affaire des mariages. Morgon a en effet considéré qu'il était inadmissible de placer les mariages des fidèles de la Tradition sous le régime du nouveau code qui, selon Mgr Lefebvre, a été la pire des réformes conciliaires.
Tous ces éléments ont donc abouti à cette inévitable rupture. La faute n'en revient aucunement aux pères capucins, qui n’ont eu qu’un souci : maintenir la fidélité à la Tradition Catholique.
Reste la question des deux diacres refusés aux ordres : comment les capucins de Morgon pourront-ils désormais les faire ordonner ? Soit la Maison générale de la FSSPX revient sur ce qui a été la cause de cette rupture et abandonne l'idée de se placer sous la dépendance canonique de la Rome moderniste, soit la Providence donnera aux pères l'opportunité de recourir à la bienveillance pastorale d’un évêque qui ne soit pas inféodé à Mgr Fellay.
Puissent les religieux de Morgon en profiter pour conforter leurs courageuses orientations.
Source : Traditions
Nous avons appris par diverses sources que le Supérieur général de la Fraternité Saint Pie X venait de signifier aux religieux de Morgon son refus de conférer la prêtrise aux deux diacres capucins qui devaient être ordonnés en juin. Les supérieurs de la FSSPX semblent coutumiers de telles mesures puisque déjà en 2012, quelques jours seulement avant les cérémonies du 29 juin, Mgr Fellay avait interdit d’ordination les candidats des dominicains d’Avrillé et des franciscains de Morgon sous le prétexte de l’attitude « non confiante » de ces communautés à propos du préambule doctrinal censé entériner le ralliement de la FSSPX à la Rome conciliaire.
Les capucins de Morgon ont régulièrement et charitablement manifesté leur désaccord avec les autorités de la FSSPX : que ce soit la recherche d'un accord purement canonique avec la Rome moderniste (sermon du RP Jean) ou le refus de célébrer et de participer au jubilé de la fausse miséricorde du Pape François. Mais il semble que Mgr Fellay ait aussi été très fâché que les pères capucins osent aider et soutenir moralement les prêtres persécutés par les autorités accordistes de Menzingen (abbé Morgan et autres). Ce qui a probablement décidé Menzingen à frapper les pères capucins est le soutien apportés par ceux-ci aux sept doyens dans l'affaire des mariages. Morgon a en effet considéré qu'il était inadmissible de placer les mariages des fidèles de la Tradition sous le régime du nouveau code qui, selon Mgr Lefebvre, a été la pire des réformes conciliaires.
Tous ces éléments ont donc abouti à cette inévitable rupture. La faute n'en revient aucunement aux pères capucins, qui n’ont eu qu’un souci : maintenir la fidélité à la Tradition Catholique.
Reste la question des deux diacres refusés aux ordres : comment les capucins de Morgon pourront-ils désormais les faire ordonner ? Soit la Maison générale de la FSSPX revient sur ce qui a été la cause de cette rupture et abandonne l'idée de se placer sous la dépendance canonique de la Rome moderniste, soit la Providence donnera aux pères l'opportunité de recourir à la bienveillance pastorale d’un évêque qui ne soit pas inféodé à Mgr Fellay.