Après une longue agonie de cinq semaines, notre Frère Michel a rendu son âme à Dieu.
Toujours humble, discret, et prudent, particulièrement pour le discernement des gens, il a contribué pendant quatre ans a la stabilité de la forteresse surnaturelle, par sa régularité, sa piété dans le soin de la sacristie, son travail à la cuisine et sa bonne humeur en toutes circonstances.
Nous perdons un bon soldat du Christ, mais ce n'est pas faute d'avoir combattu, puisqu'il souffrait depuis son enfance d'une terrible maladie, occasionnant de terribles souffrances (un poumon en moins et le cœur placé du côté droit de la cage thoracique)
Vade in Pace, Miles Christi.