samedi 30 avril 2022

Marxisme = religion

KE 771 (23 avril 2022) 


Le cœur du système de Marx est le mépris
De Dieu. Les hommes, quand l’auront-ils bien compris ?

« Les coups blessent, les mots glissent » : la formule n’est pas toujours vraie. Les mots ont un pouvoir bien à eux de détruire l’ennemi en le flétrissant. À cet égard et sans conteste, le mot antisémite est vainqueur toutes catégories, encore que ces derniers temps, le mot raciste lui donne du fil à retordre. Mais d’où peut donc bien venir cette obsession actuelle pour la race, et pourquoi est-il devenu si mal porté d’être raciste ? James Lindsay, 43 ans, américain, est auteur et critique culturel. Comme on peut s’y attendre d’un homme de sa génération, il a attrapé la pensée gauchiste avec son biberon, et en a été nourri depuis. Mais voici qu’à l’instar de Dostoïevski et de Soljénitsyne en leur temps, il commence à passer de l’autre côté du miroir : en deux leçons, Lindsay explique clairement comment la « race » a pris aujourd’hui une importance exorbitante.

Dans sa première leçon, Lindsay montre comment le marxisme devrait plutôt s’appeler Marxienté, car il est l’ersatz chimiquement le plus pur de la Chrétienté. Lindsay dit que tout ceci apparaît très clairement dans les Manuscrits de 1844 de Marx, qui annoncent le Capital de 1867, mais ces Manuscrits seraient beaucoup plus importants et intéressants. Dans sa seconde leçon, Lindsay montre comment le système philosophique de Marx, en tant que successeur du subjectivisme de Kant et de l’évolutionnisme de Hegel, est en évolution perpétuelle, de sorte que dans la Révolution Communiste, cette évolution perpétuelle n’est pas seulement une option, mais comme l’a dit Lénine, elle est nécessitée par l’évolution même des circonstances à chaque époque. Et c’est un autre penseur Juif, Herbert Marcuse (1898–1979), qui, au milieu du 20ème siècle, a montré avec succès que la classe ouvrière, comme levier de la Révolution, était dépassée et devait être remplacée . . . par la race ! D’où l’importance quasi-religieuse de la race comme moyen de continuer à subvertir le monde.

Une religion pour subvertir le monde ? Oui : c’est le Communisme, dont Winston Churchill disait qu’elle était « la Chrétienté armée d’une hache de guerre », et Pie XI, « le messianisme du matérialisme ». Vers 1851, le poète anglais Matthew Arnold (1822–1888) entendait dans le ressac, sur la plage de Douvres, « le long grondement mélancolique, de la Foi qui se retire du monde. » Au fur et à mesure que la Chrétienté reculait comme une marée descendante, apparaissait un immense vide dans les esprits des hommes et dans leurs vies. Ce vide a dû être rempli par quelque chose ou, comme a dit Chesterton, par n’importe quoi, mais de préférence quelque chose qui semblerait au moins capable de combler les mêmes besoins humains que la Chrétienté comblait. Et pour Lindsay c’est précisément ce que le marxisme a fait et fait encore. Car Marx a proposé bien plus qu’une simple théorie politique et sociale : il a tracé les contours d’une théologie, avec une théorie exhaustive de la nature humaine. Dressons une liste des différents thèmes essentiels à la Chrétienté, pour voir comment Marx les a remplacés :

La Chrétienté a un Dieu qui fixe un but et une fin à ce monde ; Son être est réel et stable (ontologie), et connaissable (épistémologie) ; il existe un royaume de Dieu qu’on peut obtenir au Ciel, mais sur la terre le Jardin d’Éden a été perdu par le péché originel, avec tous les péchés qui s’ensuivent ; cependant il existe, venant du Ciel, un rachat du péché par Jésus-Christ, notre Sauveur et Rédempteur.

Et voici ce que dit Marx. Il se débarrasse de tout Dieu réel, et Le remplace par l’homme. La religion est « l’opium du peuple ». Dans l’ontologie marxiste, l’être peut être réel mais il ne peut en aucun cas être stable, parce qu’il est en constante évolution (cf. Hegel). Il n’est pas objectif car il est connaissable seulement subjectivement (cf. Kant). Pour autant, la vie de l’homme sur cette terre a un but et une fin, qui est le triomphe de la Révolution socialiste par laquelle tous les hommes vivront dans l’harmonie Communiste, recréant le Royaume de Dieu et le jardin d’Éden, mais sur terre. Le péché originel qui vicie toute société non-socialiste est la propriété privée, parce qu’elle crée la division du travail, engendrant à son tour des relations sociales de domination, d’exploitation et d’aliénation. Donc le Communisme doit abolir la propriété privée (cf. Klaus Schwab) et toutes les distinctions de classe. La rédemption universelle adviendra aussitôt qu’on n’aura plus besoin du mécanisme de l’État pour établir l’égalité universelle. En attendant, tous les hommes doivent se ranger du côté de la Révolution, et travailler avec elle et pour elle, afin d’établir le paradis sur terre, où l’homme sera Dieu.

Vous pouvez voir M. Lindsay à l’adresse électronique suivante (transcription en anglais seulement) :


et vous reporter au numéro des Commentaires de la semaine prochaine pour la deuxième partie de son argument sur les racines du racisme d’aujourd’hui.

Kyrie eleison

jeudi 28 avril 2022

Résurrection - citations

 KE 770 (16 avril 2022)

La foi nous protège de beaucoup d’illusions,
Mais s’envole qui croit à la Résurrection.

 
Dans le Nouveau Testament, les quatre Évangiles contiennent beaucoup moins de pages sur la Résurrection de Notre Seigneur que sur sa Passion, parce que sa Passion a été le but et le sommet de son Incarnation. « Je dois encore être baptisé d’un baptême, et quelle angoisse en Moi jusqu’à ce qu’il soit accompli ! » (Lc 12,50) Ces paroles ont trait à sa Passion sans laquelle il n’y aurait pas eu de Résurrection. Par la Passion, Il a gagné Sa victoire sur la mort, par sa Résurrection, Il a manifesté cette victoire. Par Sa Passion, Il a triomphé du mal et causé notre rachat. Par sa Résurrection, Il a manifesté le bien qu’Il nous a acquis et comblé la mesure de notre salut. Mais les hommes blessés que nous sommes sont inclinés à éviter la souffrance pour en goûter seulement les fruits : ainsi, la Néo-église remplace sur les croix Jésus souffrant par le Messie ressuscité. Mais les Évangiles insistent sur les racines pour mieux assurer les fruits. Ceci étant dit, voici une citation de tous les quatre Évangiles sur la Résurrection de Notre Seigneur.

Mt 28, 18 : quelques-unes des dernières paroles de Notre Seigneur, notées par saint Matthieu juste avant l’Ascension. « Toute autorité M’a été donnée dans le Ciel et sur terre, » et non pas à Moïse, Bouddha Mahomet ou Marx ou tout autre chef des nombreuses fausses religions des hommes. Et le Christ ne parle pas ici comme Dieu, car en tant que Dieu Il possède déjà cette autorité. Si cette autorité Lui a été donnée, elle n’a pu Lui être donnée qu’en tant qu’homme. Une affirmation aussi étonnante est soit absurde, soit vraie. Mais si le Christ l’avait contredite, Il aurait été un menteur, comme ses ennemis (cf. Jn 8, 55). C’est cette Autorité qui distingue la vraie Église Catholique de la Néo-église et de toutes les autres fausses religions ou églises sur terre. Cette Autorité divine unique descend de Dieu seulement à travers Son Vicaire sur terre, le Pape de Rome. Dieu restaurera nécessairement le Pape pour restaurer l’autorité de Son Église.

Mc 16, 16 rapporte également des paroles de Notre Seigneur juste avant son Ascension : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. » Il s’agit ici encore d’une affirmation étonnante qui est soit absurde, soit vraie. Et si elle est vraie, alors est absurde tout l’œcuménisme issu de Vatican II – qui veut que les hommes puissent être sauvés en dehors de l’Église Catholique. Des hommes peuvent être sauvés par Notre Seigneur DANS les fausses religions, mais jamais PAR les fausses religions. Ces mots sont durs à entendre ? La question n’est pas de savoir s’ils sont durs, mais s’ils sont vrais. Je ne sauverai pas mon âme en me berçant d’illusions pieuses. Purement chimérique est l’idée que je puisse obtenir le ciel du Christ en ignorant le Christ, ou en ignorant la seule et unique Église qu’Il a instituée pour continuer Son Incarnation sur terre après qu’Il fût monté en Personne au Ciel.

Lc 24, 25 : le Christ ressuscité réprimande les deux pèlerins d’Emmaüs pour leur lenteur à croire. « N’était-il pas nécessaire que le Christ souffrît pour entrer ainsi dans Sa gloire ? » Nous qui sommes humains, nous refusons de croire qu’il soit nécessaire de souffrir quoi que ce soit, mais Saint Thomas d’Aquin (3a, q. 69, a. 3) donne trois raisons pour lesquelles le baptême ne supprime pas les souffrances de cette vie :

1° pour que les Chrétiens puissent partager la Passion du Christ ;

2° pour qu’ils aient à lutter en vue de mériter la vie éternelle ;

3° pour que la vie chrétienne ne soit pas qu’une manière d’éviter les souffrances sur cette terre. La souffrance a son utilité.

Jn 20, 29 : le Christ ressuscité vient tout juste de guérir l’apôtre Thomas de son incrédulité, en le laissant toucher les plaies de la crucifixion. « Tu (Thomas) as cru parce que tu as vu. Bienheureux celui qui croit sans voir. » Souvent, 2000 ans après la vie du Christ sur terre, nous sommes tentés de penser : si seulement je L’avais vu en chair et avais vécu avec Lui comme ses Apôtres, comme il serait plus simple de croire en lui ! Mais notre foi n’aurait pas la même valeur. Croire en Lui sans « l’évidence scientifique » est bien plus méritoire pour le ciel, comme le rappelle Notre Seigneur à saint Thomas. Croire en Dieu n’est pas croire en une absurdité, loin de là ! Mais croire en Lui seulement avec l’aide de cette « preuve physique », c’est appauvrir notre foi de cette confiance en Dieu qui fait, en grande partie, le mérite et la valeur de cette foi. Et si nous souffrons mais continuons à croire, la foi acquiert encore plus de mérite.

Kyrie eleison

"L'ELECTION" ne changera rien au châtiment à venir.

Il y a quelques jours, sur telegram, l'abbé Salenave a publié cette petite analyse d'actualité.

Certains se raccrochent aux branches de la prochaine élection républicaine dans l'espoir de limiter la casse. 

Nous sommes d'accord pour dire que Macron est le symbole de la corruption extrême et de la perversité humaine. 

Mais n'oublions pas que Macron est surtout le SIGNE du châtiment qui tombe sur l'apostasie des Français. 

Macron n'est pas la cause de nos malheurs mais la conséquence du rejet de Dieu par la presque totalité des Français.

Demain, je vais dire une messe de la Fidélité à Paris, ville de presque 12 millions d'habitants avec les périphéries. 

Combien de fidèles vont assister à la Messe de toujours, se confesser, réparer leurs crimes et ceux de leurs frères ? Pas plus d'une cinquantaine !! 

A Sodome, Dieu n'a pas trouvé 10 justes. Il l'a alors détruite d'une façon exemplaire. 

Ce sera le cas de Paris et de nombreuses villes en France selon d'innombrables prophéties.  

Macron en sera peut-être l'instrument car il a déjà presque déclaré la guerre à la Russie en fournissant des armes aux bataillons ukrainiens.

La suite vous la connaissez mais je veux tout de même vous citer quelques prophéties reconnues : 

Père Louis-Marie Pel (1945) :

« Les saisons n’existeront plus trois années au moins avant que la terre puisse redonner des herbes et de la végétation. Grande famine dans le monde entier.

Paris sera détruite par la Révolution et brûlée par des tirs atomiques des Russes depuis Orléans et la région de Provins. Tandis que Marseille et la Côte d’Azur s’écrouleront dans la mer. »

Marie-Josèphe Levadoux (XIXème siècle) :

« Notre Seigneur me dit: «Avertis mon peuple, et s’il ne tient pas compte de mes avertissements, Je le frapperai comme j’ai frappé Sodome et Gomorrhe. J’ai vu Paris rempli de sang! Des monceaux de cadavres! J’ai vu aussi au milieu d’une vaste plaine noirâtre, une borne sur laquelle était écrit: Ici était Paris. »

Correspondance Hohenlohe (1828) :

« Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s’unira à la terre…. Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n’y verra plus que des précipices… Cette ville ne sera plus jamais rétablie. »

Marianne Gaultier (1804) :

« La grande prostituée sera détruite par le feu. Mais l’Ange du Seigneur avertira les justes de Paris.  Personne ne saura d’où est venu le feu. Tous les mauvais périront. Les malheurs de la France seront si grands que plusieurs en mourront de frayeur. »

Père Nectou (1760) :

« Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu’il y paraisse des signes qui mettront les bons à même de s’enfuir; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l’a détruite. »

La mort de Macron sera t elle le signal de ce châtiment ? C'est très probable:

Maria Bordoni (XXème siècle) :

« Avertissez, je vous en supplie. Monseigneur, les évêques, les prêtres et toutes les communautés de veiller à tout cela et de se munir après cela d’habits de laïques pour prendre la fuite quand il le faudra pour éviter le massacre. Je ne sais pas l’époque, mais je puis donner un signe. Il y aura une mort à Paris, et le moment de cette mort sera le signal de la justice divine pour Paris et la France. De ce moment il faudra quitter Paris pour n’être pas massacré et consumé par les flammes. »

Ce n'est donc pas la misérable élection de demain qui changera la donne ... Mgr Lefebvre et aujourd'hui Mgr Williamson nous avertissent : c'est l'heure de la justice divine.

Abbé Matthieu Salenave

samedi 16 avril 2022

A toi qui as 20 ans cette année ...

M. l'abbé Salenave adresse aujourd'hui un petit mot pour les jeunes qui héritent d'un monde fou et diabolisé. Il leur explique brièvement les raisons de cette situation apocalyptique dans le monde et surtout dans l'Eglise, et ce que le Bon Dieu attend d'eux aujourd'hui car pour un catholique, il n'y a aucune raison de désespérer : à chaque crise, y compris les plus noires, le Ciel a suscité des hommes et des solutions. Dans les années 80, le ciel nous a donné Mgr Lefebvre puis la FSSPX; mais aujourd'hui la donne a changé et le mal s'est approfondi : que veut Dieu pour ces jeunes ? Réponse ici : 




mardi 5 avril 2022

Charte Sacerdotale - La ligne catholique des prêtres en 2022

La crise conciliaire est sans conteste le plus grand assaut de l'enfer que l'Eglise ait pu connaître depuis ses origines car elle touche directement l'intégrité de la Foi par la corruption spirituelle du clergé jusqu'au Pape. Mais le Christ veille toujours  sur son Eglise pour que celle-ci reste un phare dans les tempêtes. 
 
C'est ainsi que Dieu a suscité St Pie X pour donner la lumière catholique contre le modernisme naissant, puis Mgr Lefebvre pour condamner le modernisme triomphant au concile grâce à la célèbre déclaration de 1974. Mais il fallait renouveler et actualiser la ligne catholique  pour les prêtres et fidèles en 2022 dans la mesure où la FSSPX, trahissant le testament de Mgr Lefebvre, se compromet en théorie et en pratique avec les modernistes

Dans ce contexte troublant pour les fidèles,  une bonne douzaine de prêtres de la Fidélité a déjà signé cette charte sacerdotale qui permet à tout catholique de discerner la lumière de la Foi et les dangers qui la menacent. 

La charte fut rédigée en 2018 et renouvelée en 2022. 

Vous trouverez ci-dessous les versions en Français, Italien, Espagnol, Portugais et anglais. 


Français

CHARTE SACERDOTALE 
des prêtres de la Fidélité

DANS les circonstances exceptionnelles de notre ministère, nous voulons rappeler quelle est notre place dans la sainte Église, quels sont nos liens et quels sont les principes qui dirigent nous et notre ministère.

Rien ne nous a paru théologiquement plus simple, clair et concis comme définition de l’Église que celle du catéchisme de saint Pie X : « L’Église catholique est la société ou la réunion de tous les baptisés qui, vivant sur la terre, professent la même foi et la même loi de Jésus-Christ, participent aux mêmes sacrements et obéissent aux pasteurs légitimes, principalement au Pontife Romain. » (Grand catéchisme, 9e article, § 2, 1ère question)

Cette définition de l’Église définit ce que sont les fidèles et les pasteurs. Voici comment nous y serons fidèles.

1. QUANT À LA DOCTRINE

Le dépôt sacré de la foi a été protégé face aux erreurs modernes principalement par le Syllabus, l’encyclique Pascendi et le serment antimoderniste, puis rappelé et défendu par Mgr Lefebvre, principalement quant à la doctrine du Christ-Roi et à l’importance du sacrifice de la croix. Nous renouvelons notre serment d’y être fidèles, de le défendre et de le propager.

2. QUANT À LA LOI

Le code de droit canonique traditionnel de 1917, fruit et synthèse de 2000 ans de tradition juridique et morale de l’Église ne peut avoir été aboli par le code moderniste de prétendu droit publié en 1983, fruit et application du Concile Vatican II. Ce concile, Mgr Lefebvre l’a jugé « la plus grande catastrophe de l’histoire » et ce code il l’a jugé « pire que le concile ».

En conséquence, le code de 1917 est et doit demeurer la norme tant pour notre vie que pour notre ministère.

En particulier nous rappelons les obligations à nous faites par le canon 124 : « Les clercs doivent mener une vie intérieure et extérieure plus sainte que celle des laïcs et servir à ceux-ci d’exemple par leur vertu et par la rectitude de leurs actions » ; ainsi que celles que nous imposent les canons suivants, à savoir : – l’oraison mentale, la visite au Saint Sacrement, le chapelet, l’examen de conscience, le bréviaire quotidiens, – la confession fréquente, la retraite spirituelle, l’exercice du ministère, l’étude de la doctrine sacrée.

Nous constatons que les canons de 1983 relatifs au mariage sont contraires au droit divin, expression du personnalisme, fruits du modernisme. Nous ne reconnaissons pas et nous ne reconnaîtrons jamais les déclarations de nullité de mariage fondées sur ce code, non plus que les mariages subséquents à ces déclarations.

Il ne s’agit là ni d’un choix ni de notre volonté propre, mais de la vérité qui s’impose à tous et chacun.

3. QUANT AUX SACREMENTS

Nous constatons quelle grâce de Dieu envers nous est d’avoir dû quitter la Fraternité Saint Pie X. Cette séparation nous a préservés et libérés.

Nous incitons les fidèles à faire de même, tout d’abord afin de se préserver, eux-mêmes et leurs familles, du libéralisme et de la contagion moderniste. C’était le principe énoncé par Mgr Lefebvre : il faut fuir tout ce qui peut corrompre la foi et la vie de foi. Par là ils découvriront ce qu’est la vraie liberté des enfants de Dieu et la force de la grâce.

Nous engageons les fidèles à former des groupes de prière et de vie chrétienne pour se soutenir dans les épreuves et pour maintenir la vie de l’Église.

Nous les engageons, pour eux et pour leurs enfants, non seulement à résister à l’influence délétère du monde, mais à se rendre apôtres de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Nous les engageons à réciter quotidiennement le chapelet et même le rosaire. C’est par lui qu’ils conserveront la foi, auront le courage nécessaire dans l’épreuve et la séparation, que naîtront et se développeront les groupes de prière, que les enfants deviendront des serviteurs du Christ-Roi.

Nous renouvelons notre engagement à soutenir, aider et former en tout premier ceux – fidèles de la première heure ou nouveaux venus, connus ou inconnus – qui voudront mettre en œuvre ce programme de vie chrétienne.

4. QUANT AUX PASTEURS

Nous constatons et voyons en Mgr Williamson le digne successeur de Mgr Lefebvre dans la défense de la foi et, pour ne pas être orphelins, nous nous mettons sous la sage conduite de ce digne père.

Suivent les signatures.


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Italien

Carta sacerdotale
dei preti della Fedeltà

Date le circostanze eccezionali del nostro ministero, vogliamo ricordare qual è il nostro ruolo nella santa Chiesa, quali sono i nostri legami con essa ed infine i principi che dirigono noi e il nostro ministero.

Nulla ci è parso teologicamente più semplice, chiaro e conciso come definizione di Chiesa di quella del catechismo di San Pio X : “La Chiesa cattolica è la società o la riunione di tutti i battezzati che, vivendo su questa terra, professano la stessa fede e la stessa legge di Gesù Cristo, partecipano agli stessi sacramenti ed obeddiscono ai legittimi pastori, principalmente al Pontefice Romano” (Grande catechismo, 9° articolo, § 2, 1a domanda).

Questa definizione di Chiesa definisce la natura dei suoi fedeli e pastori. Ecco come noi vi saremo fedeli.

1. RIGARDO ALLA DOTTRINA

Il deposito sacro della fede è stato protetto dagli errori moderni principalmente grazie al Syllabus, l’enciclica Pascendi e il giuramento antimodernista, poi ricordato e difeso da Mons. Lefebvre, essenzialmente riguardo alla dottrina del Cristo-Re e all’importanza del sacrificio della croce. Noi rinnoviamo il nostro giuramento ad esservi fedeli, a difenderlo e a diffonderlo.

2. RIGUARDO ALLA LEGGE

Il codice di diritto canonico tradizionale del 1917, frutto e sintesi di 2000 anni di tradizione giuridica e morale della Chiesa, non può essere stato abolito dal codice modernista di un sedicente diritto pubblicato nel 1983, frutto e applicazione del Concilio Vaticano II. Mons. Lefebvre ha qualificato il concilio di “La più grande catastrofe della storia” e il codice di “peggiore del concilio”.

Pertanto, il codice del 1917 è e deve restare la norma, sia per la nostra vita che per il nostro ministero.

In particolare ricordiamo gli obblighi fatti dal canone 124 : “I chierici devono condurre una vita interiore ed esterna più santa dei laici e servire ad essi d’esempio grazie alla loro virtù e alla rettitudine delle loro azioni”; così come quelli imposti dai canoni successivi, come : - l’orazione mentale, la visita al Santissimo Sacramento, il rosario, l’esame di coscienza, il breviario quotidiano - la confessione frequente, il ritiro spirituale, l’esercizio del ministero, lo studio della dottrina sacra.

Constatiamo inoltre che i canoni del 1983 relativi al matrimonio sono contrari al diritto divino, in quanto espressione del personalismo e frutto del modernismo. Non riconosciamo e mai riconosceremo le dichiarazioni di annullamento di matrimonio fondati su questo codice, così come i matrimoni successivi a queste dichiarazioni.

Non si tratta di una scelta dipesa dalla nostra volontà, ma dalla verità che si impone a tutti.

3. RIGUARDO AI SACRAMENTI

Vediamo quale grazia di Dio verso di noi è stata l’aver lasciato la Fraternità San Pio X. Questa separazione ci ha preservati e liberati.

Incitiamo i fedeli a fare lo stesso, innanzitutto al fine di preservarsi, loro stessi e le loro famiglie, dal liberalismo e dal contagio modernista. Questo era il principio enunciato da Mons. Lefebvre : è necessario fuggire da tutto ciò che può corrompere la fede e la vita della fede. Grazie a ciò scopriranno la vera libertà dei figli di Dio e la forza della grazia.

Esortiamo i fedeli a formare dei gruppi di preghiera e di vita cristiana per sostenersi nelle prove e per conservare la vita della Chiesa.

Li esortiamo, per essi e per i loro figli, non soltato a resistere all’influenza deleteria del mondo, ma a rendersi apostoli di Nostro Signore Gesù Cristo.
Li incitiamo a recitare quotidianamente il rosario (cinque o anche quindici decine). È grazie a questo che conserveranno la fede, avranno il coraggio necessario nella prova e nella separazione, che nasceranno e si svilupperanno i gruppi di preghiera e che i bambini diventeranno servitori del Cristo Re.

Rinnoviamo la nostra esortazione a sostenere, aiutare e formare innanzitutto quelli che – fedeli della prima ora o nuovi arrivati, conosciuti o sconosciuti – vorranno implementare questo programma di vita cristiana.

4. RIGUARDO AI PASTORI

Constatiamo e vediamo in Mons. Williamson il degno successore di Mons. Lefebvre nella difesa della fede e, per non essere orfani, ci mettiamo sotto alla saggia guida di questo degno padre.

Seguono i firmatari


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PORTUGAIS 

CARTA SACERDOTAL
Sacerdotes da Fidelidade (Resistência)

Nas circunstâncias excepcionais de nosso ministério, queremos lembrar qual é o nosso lugar na Santa Igreja, quais são nossos vínculos e quais são os princípios que nos orientam e nosso ministério.

Nada nos parecia teologicamente mais simples, claro e conciso como definição da Igreja do que a do catecismo de São Pio X: "A Igreja Católica é a sociedade ou a união de todos os batizados que, vivendo na terra, professam a mesma fé e a mesma lei de Jesus Cristo, participam dos mesmos sacramentos e obedecem aos legítimos pastores, principalmente ao Romano Pontífice. » (Catecismo Maior, artigo 9º, § 2º, 1ª pergunta)

Esta definição da Igreja define quem são os fiéis e os pastores. Aqui está como nós seremos fiéis.

1. QUANTO A DOUTRINA

O sagrado depósito da fé foi protegido contra os erros modernos principalmente pelo Syllabus, a encíclica Pascendi e o juramento antimodernista, então lembrado e defendido pelo Arcebispo Lefebvre, principalmente no que diz respeito à doutrina de Cristo Rei e a importância do sacrifício do Cruz. Renovamos nosso juramento de sermos fiéis a ela, defendê-la e propagá-la.

2. QUANTO À LEI

O tradicional código de direito canônico de 1917, fruto e síntese de 2000 anos de tradição jurídica e moral da Igreja, não pode ter sido abolido pelo código modernista do chamado direito publicado em 1983, fruto e aplicação do Concílio Vaticano II. Este concílio, o arcebispo Lefebvre julgou-o "a maior catástrofe da história" e este código julgou-o "pior que o concílio".

Assim, o código de 1917 é e deve continuar sendo o padrão tanto para nossa vida quanto para nosso ministério.

Em particular, recordamos as obrigações que nos são impostas pelo cânon 124: "Os clérigos devem levar uma vida interior e exterior mais santa que a dos leigos e servir-lhes de exemplo pela sua virtude e pela retidão de suas ações" ; bem como as que nos são impostas pelos seguintes cânones, a saber: – a oração mental, a visita ao Santíssimo Sacramento, o rosário, o exame de consciência, o breviário diário, – a confissão frequente, o retiro espiritual, o exercício do ministério, o estudo da doutrina sagrada.

Constatamos que os cânones de 1983 relativos ao matrimônio são contrários à lei divina, expressão do personalismo, fruto do modernismo. Não reconhecemos e nunca reconheceremos declarações de nulidade de casamento com base neste código, nem casamentos posteriores a essas declarações.

Isso não é uma escolha nem nossa própria vontade, mas a verdade que é obrigatória para todos.

3. QUANTO AOS SACRAMENTOS

Vemos que graça de Deus para nós é o fato de temos deixado a Fraternidade São Pio X. Essa separação nos preservou e nos libertou.

Exortamos os fiéis a fazerem o mesmo, em primeiro lugar para preservar a si e suas famílias do liberalismo e do contágio modernista. Este foi o princípio enunciado pelo Arcebispo Lefebvre: é preciso fugir de tudo que possa corromper a fé e a vida de fé. Assim descobrirão qual é a verdadeira liberdade dos filhos de Deus e o poder da graça.

Exortamos os fiéis a formarem grupos de oração e vida cristã para apoiarem-se mutuamente nas provações e manterem a vida da Igreja.

Nós os exortamos, por si e por seus filhos, não apenas a resistir à influência deletéria do mundo, mas a se tornarem apóstolos de Nosso Senhor Jesus Cristo.

Nós os exortamos a rezar o terço e até mesmo o terço diariamente. É por meio dele que eles preservarão a fé, terão a coragem necessária na provação e separação, que os grupos de oração nascerão e se desenvolverão, que os filhos se tornarão servos de Cristo Rei.

Renovamos o nosso compromisso de apoiar, ajudar e formar em primeiro lugar aqueles – fiéis desde a primeira hora ou recém-chegados, conhecidos ou desconhecidos – que queiram implementar este programa de vida cristã.

4. QUANTO AOS PASTORES

Notamos e vemos em Dom Williamson o digno sucessor de Dom Lefebvre na defesa da fé e, para não ficarmos órfãos, nos colocamos sob a sábia orientação deste digno Pai.

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ESPAGNOL

Carta sacerdotal de los sacerdotes de la Resistencia


En las circunstancias excepcionales de nuestro ministerio, queremos recordar cual es nuestro lugar en la Santa Iglesia, cuales son nuestros vínculos y cuales son los principios que nos guían y guían a nuestro ministerio.

Nada nos pareció tan sencillo, claro y conciso para definir la Iglesia que la definición del Catecismo de San Pío X: «La Iglesia Católica es la sociedad o congregación de todos los bautizados que, viviendo en la tierra, profesan la misma fe y ley de Cristo, participan en los mismos Sacramentos y obedecen a los legítimos Pastores, principalmente al Romano Pontífice.» (Gran Catecismo, Artículo 9, párrafo segundo, 1ª pregunta)

Esta definición de la Iglesia define lo que son los fieles y los pastores. Sigue como seremos fieles a ello.

I. En cuanto a la doctrina

El depósito sagrado de la Fe ha sido protegido de los errores modernos, principalmente por el Syllabus, la encíclica Pascendi y el sermón antimodernista, y después fue recordado y defendido por Monseñor Lefebvre, principalmente en cuanto a la doctrina del Cristo Rey y la importancia del sacrificio de la Cruz. Renovamos nuestro juramento de serle fiel, de defenderlo y de propagarlo.

II. En cuanto a la ley

El código de derecho canónico tradicional de 1917, fruto y síntesis de 2000 años de tradición jurídica y moral de la Iglesia, no puede haber sido abrogado por el código modernista de pretendido derecho publicado en 1983, fruto y aplicación del Concilio Vaticano II. Este concilio, Monseñor Lefebvre lo juzgó como «la mayor catástrofe de la historia» y juzgó este código «peor que el concilio».

Por consecuencia, el código de 1917 es y debe quedarse como la norma para nuestra vida, así que para nuestro ministerio.

En particular, recordamos las obligaciones que nos hace el canon 124: «Los clérigos deben llevar una vida interior y exterior más santa que la de los laicos y servirles de ejemplo por sus virtudes y la rectitud de sus acciones»; así que las que nos imponen los cánones siguientes, a saber: - la oración mental, la visita al Santísimo Sacramento, el rosario, el examen de conciencia, el breviario a diario – la confesión frecuente, el retiro espiritual, el ejercicio del ministerio, el estudio de la doctrina sagrada.

Constatamos que los cánones de 1983 tratando del matrimonio son contrarios al derecho divino, expresión del personalismo, fruto del modernismo. No reconocemos y no reconoceremos nunca las declaraciones de nulidad matrimoniales fundadas sobre este código, ni tampoco los matrimonios consecuentes a esas declaraciones.

Ni se trata de una decisión personal ni de nuestra voluntad propia, sino de la verdad que se impone a todos y a cada uno.

III. En cuanto a los sacramentos

Constatamos cual gracia de Dios ha sido para nosotros haber tenido que dejar la Hermandad San Pío X. Esta separación nos preservó y nos libró.

Incitamos a los fieles a hacerlo también, primero para preservarse, ellos mismos y sus familias, del liberalismo y del contagio modernista. Era el principio enunciado por Monseñor Lefebvre: hay que huir de todo lo que puede corromper la Fe y la vida de la Fe. Allí descubrirán lo que es la verdadera libertad de los hijos de Dios y la fuerza de la gracia.

Animamos a los fieles a formar grupos de oración y de vida cristiana para apoyarse en las pruebas y mantener la vida de la Iglesia.

Les instamos, para ellos y sus hijos, a no solo resistir a la influencia deletérea del mundo, sino también a ser apóstoles de Nuestro Señor Jesucristo.

Les instamos a rezar cada día el rosario y si es posible el rosario completo. Es por él que conservarán la Fe, tendrán el ánimo necesario en la prueba y la separación, nacerán y crecerán los grupos de oración y los hijos se convertirán en servidores del Cristo Rey.

Renovamos nuestra instancia a apoyar, ayudar y formar en primer lugar los -fieles de la primera hora o recién llegados, conocidos o desconocidos- que querrán poner en obra este programa de vida cristiana.

IV. En cuanto a los pastores

Constatamos y vemos en Monseñor Williamson el digno sucesor de Monseñor Lefebvre en la defensa de la Fe y para no quedar huérfanos, nos ponemos bajo la sabia conducta de este digno padre.

Siguen las firmas

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ANGLAIS

Priestly Charter of the Resistance priests 


In the actual exceptional circumstances of our ministry, we want to remind what is our place in the Holy Church and what are the principles who guide us and our ministry.

Nothing appeared to us theologically easier, clearer and more concise to define the Church than the definition given by the Catechism of Saint Pius X: "The Catholic Church is the Union or Congregation of all the baptised who, still living on earth, profess the same Faith and the same Law of Jesus Christ, participate in the same Sacraments, and obey their lawful Pastors, particularly the Roman Pontiff." (Great Catechism, 9th article, §2, 1st question)

That definition of the Church define what are the faithful and the pastors. This is how we will be faithful to that.

1. According to doctrine

The sacred deposit of faith has been protected against modern errors mainly by the Syllabus, the encyclical Pascendi and the antimodernist oath, and has been reminded by Archbishop Lefebvre, mainly according to the doctrine of Christ the King and the importance of the sacrifice of the Cross. We renew our oath to be faithful to it, to defend it and to propagate it.

2. According to law

The traditional Code of Canon Law of 1917, fruit and synthesis of 2000 years of juridical and moral tradition of the Church, can't have been abolished by the modernist Code of pretended right published in 1983, fruit and application of the Second Vatican Council. This Council has been judged by Archbishop Lefebvre as the "worst disaster of history" and judged this Code "worse than the Council".

As a consequence, the Code of 1917 is and must stay the norm for our lives and in the same way for our ministry.

We want to remind especially the obligations towards us made by the Canon 124: "Clerics must lead an interior and exterior life holier than that of laity and should excel inrendering them an example of virtue and good deeds."; as well as the ones that impose us the canons following: -mental prayer, visit to the Blessed Sacrament, rosary, examination of conscience, breviary daily,- frequent confession, spiritual retirement, the exercise of ministry and the study of sacred doctrine.

We note that the canons of 1983 according to marriage are contrary to Divine Law, an expression of personalism, fruits of modernism. We do not recognise and won't never recognise the declarations of nullity based on this Code, as well as the marriages following those declarations.

It's absolutely not a personal choice or our own will, but the truth which imposes herself to all.

3. According to sacraments

We note what grace of God toward us has been to be obligated to leave the Society of Saint Pius X. This separation preserved us and freed us.

We encourage the faithful to do the same, firstly to preserve themselves and their families, of liberalism and of the modernist contagion. It was the principle enounced by Archbishop Lefebvre: we have to flee everything that can corrupt the Faith and her life. There they will discover what is the true liberty of the sons of God and the strength of Grace.

We engage the faithful to form groups of prayer and Catholic life to support each other before the trials and to maintain the life of the Church.

We engage them, for them and for their children, to not only resist the harmful influence of the world, but also to become apostles of Our Lord Jesus Christ.

We engage them to recite daily the rosary and if it's possible the 15 decades rosary. It's by it than they will keep the faith, than they will have the courage before the trials and separations, than will appear and develop the groups of prayer and than the children will become servants of Christ the King.

We renew our compromise to support, help and form firstly those - faithful of the first hour or newcomers, known or unknown - who would like to live this program of Catholic life.

4. According to pastors

We note and see in Bishop Williamson the worthy successor of Archbishop Lefebvre in the defence of the Faith and, to not be orphans, we put ourselves under the prudent guidance of this worthy father.

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lundi 4 avril 2022

Bonnes nouvelles du prieuré de la Villeneuve : ordination du Fr Denis


ORDINATION SACERDOTALE DU FRÈRE DENIS DU SACRÉ-CŒUR



Chers Amis,

Je ne puis vous donner de sermon pour ce dimanche, le ministère ayant été trop prenant ces derniers jours. Mais je puis vous donner de bonnes nouvelles.

Trois séminaristes de Mgr Faure ont été ordonnés sous-diacres aujourd’hui (samedi 2 avril).

J’ai rencontré Mgr Zendejas et il conférera le diaconat à notre Frère Denis du Sacré-Cœur jeudi prochain, 7 avril, en notre prieuré Notre Dame du Christ-Roi (La Villeneuve), accompagné de Mgr Faure. Je les en remercie.

Surtout, il conférera le sacerdoce à notre Frère Denis du Sacré-Cœur, en notre prieuré Notre Dame du Christ-Roi (La Villeneuve), le dimanche 19 juin, solennité de la Fête-Dieu. Vous êtes tous invités à cette grande cérémonie. Deux cadeaux seront offerts au Frère Denis du Sacré-Cœur, un calice, et le nécessaire pour une chapelle portative, calice, ciboire, ornements, etc. Vous pouvez y participer si vous le désirez, cela lui fera plaisir.

Enfin, une cérémonie de confirmations aura lieu la veille, samedi 18 juin, à la Villeneuve. Prière de se faire connaitre rapidement pour l’inscription et la préparation. Une récollection de préparation à ce grand sacrement aura lieu auparavant, tant pour les adultes que pour les enfants, et je vous donnerai les détails plus tard.

Que Dieu vous bénisse !

samedi 2 avril 2022

Retraites


 Chers lecteurs,

En ce temps de Carême, temps favorable aux bonnes et fécondes résolutions, nous vous rappelons l'existence de l'onglet "Retraites spirituelles" .  Cette page est régulièrement mise à jour. 

Allez-la consulter régulièrement !

Bonne retraite spirituelle !

Croisade de la Charité

En ce mois d'avril, contemplons la médaille miraculeuse, résumé de la Charité !

"Un cœur de Dieu, ce « Cœur qui a tant aimé les hommes» ; un cœur de Mère, et de quelle Mère! Quel plus éloquent symbole pourrions-nous désirer de l'amour qui doit s'exhaler de nous et se déverser sur les autres? Voilà comment, en un langage muet mais très fort, la petite Médaille nous enseigne la Charité envers le prochain."
A nous d'en faire bon usage pour étendre le règne de Notre Seigneur, règne de Charité (bien comprise !)