samedi 29 janvier 2022

Vaccin : la FSSPX préfère se mettre à l'écart (suite et fin)

M. l'abbé Chazal vient de nous envoyer la fin de sa réfutation de la conférence de l'abbé Pagliarani sur le vaccin. Lamentable conférence du supérieur de la FSSPX pour justifier le vaccin, les prêtres et les fidèles catholiques remercient particulièrement l'abbé Chazal de nous donner des arguments de poids pour ne pas recevoir ce poison du diable. 


Ayant juste affirmé que le cas du vaccin ne concerne pas la morale mais la médecine, l'abbé Pagliarani fait volte face et fait de la morale sur le sujet posé. Il amène un argument de morale, le volontaire indirect, pour légitimer la prise de concoction. Comprenne qui pourra.

La formulation est imparfaite, elle parle d'avantages... avantages? Oui, parlons-en.

AVANTAGES ?

● De quoi? 

D'un vaxassin. On nous dit que ce n'est pas la première fois que des mesures restrictives furent imposées pour vacciner la population. Ce fut même le cas dans les Etats Pontificaux sous Grégoire XVI, pour éradiquer une épidémie. Evidemment, il s'agissait d'un vrai vaccin qui écarta une vraie épidémie; tout comme il y a encore de vrais vaccins efficaces. Le bien commun fut assuré.

Ici ce fut une gripette au départ, puis des maladies grandissantes au fur et à mesure que la population inocule l'expérience génique... Tout est à l'envers!

● De qui? 

Du big pharma, contrôlé par la finance mondiale judéo-maçonnique. Doit-on, peut-on confier notre santé et notre liberté à ces gens-là?  Pourquoi la Fraternité refuse-t-elle de pointer du doigt les milieux occultes, juifs et maçonniques, particulièrement impliqués dans cette affaire? 

A force de refuser de dénoncer qui fait quoi parmi les "globalistes", on finit par ignorer le problème : l'esclavage médical, l'établissement d'une immuno-déficience perpétuelle. (Il semble que Montagnier exagère quand il parle de mort des vaccinés sous deux ans.)

Il est plus probable que le Pr. Raoult ait raison; on va continuer à constater une dégradation de l'immunité et des effets secondaires multiples. Le produit fini est plus la dépendance que la mort, comme celui qui a besoin de plus en plus de café pour ne pas dormir. 
C'est cela que recherchent ces gens, qui doivent être enfermés avant qu'ils ne nous enferment.

●  Pour quoi?

De son côté, le petit rat de laboratoire cherche à recouvrer une portion de liberté seulement, dans une société à deux étages, à condition qu'il se fasse piquer tous les trois mois. Trois doses sont requises dorénavant; et en Israël, on parle de 5e dose... même si le vaccin ne marche pas. Maintenant, il faut vacciner les enfants, avec des conséquences potentielles très graves.

Moins ça marche, plus la fuite en avant s'accélère. 

Pour quoi ? Le recouvrement de la santé et du bonheur ? La fin des restrictions en tout genre ? Un retour à la normale ? Non pas, tant le but est d'exclure ce qui est normal, faire un graite recette (great reset).

Le but du démon, depuis le commencement, c'est le mensonge et l'homicide.

●  Par quel moyen? 

Là, inutile de le dire, les moyens sont immenses:

L'urgence sanitaire donne tous les moyens à Jupiter; au dessus même des lois sacrales de Nuremberg. Les décisions du "Conseil de défense" sont au dessus de tout scrutin pour les décennies à venir.
Le big pharma est tellement au-dessus des instances souveraines qu'il n'est pas tenu de révéler à la "Haute Autorité" le contenu de la potion.
Et au dessus même du big pharma, il y a la big finance, Blackrock, Vanguard, les super riches, les membres privés de la Fed.
Vanguard est l'actionnaire majoritaire tant du big pharma que du gafam (le big tech); le conflit d'intérêt est total tant avec l'état, qu'à l'intérieur de la structure financière. La capitalisation de Vanguard atteint 7000 milliards de dollars, autant que le PNB de la France et de l'Allemagne réunis, et il n'est que l'une des parties prenantes (Bill Gates a beaucoup d'actions Pfizer). Et au dessus, nous arrivons au sommet, à cette entité dont le nom est imprononçable, ce qui laisse un peu Jupiter en bas. 

Qui veut le grand reset a la fin, a les moyens, prend les moyens.

●  Comment ?

Par le mensonge et les menaces. Pour emmm les non vaccinés, Jupiter a fait une promesse, qu'il tiendra pour une fois; c'est la stratégie.
Même si Omicron est peu létal, les nouvelles doses s'imposent, les mesures doivent se multiplier, les lois, le muselage la surveillance. Macron sera réélu.

●  Où ?

Surtout dans les pays que Dieu punit, qui ont fait une idole du bien-être sanitaire. Dans les pays que Dieu ne punit pas, on le voit, la vie normale continue. La Russie est épargnée de la folie covidique; la Chine, on ne sait pas trop ce qui se passe; peine de mort dès la première injection chez les talibans; et pays d Afrique qui se moquent complètement du cowide. Ca ne prend pas partout. En Syrie, 5% de vaccinés...

Ce n'est pas le cas pour nos populations sans Dieu, vieillissantes et décadentes. Elles sont naturellement hypochondriaques, et même leur plus jeune composante se laisse persuader. Le Docteur Raoult inclut le phénomène de panique, la peur de la mort, le totem du vaccin dans son diagnostique. Il dit qu'on a fait une religion du vaccin, il parle d'une folie collective, qu'il qualifie de religion. Même s'il devrait ajouter l'adjectif "fausse" à cette religion qui existe, le constat est frappant. L'Occident a abandonné Dieu, et tous les Raoult, Fouché, Péronne, Joyeux etc. n'arrivent pas à ramener les gens à la raison. Le temps ne fait rien à l'affaire, dit Brassens.

Ainsi,
L'emplacement prochain du keuvide maladif, c'est l'intelligence.  L'intelligence "moderne" est coupée du réel, elle est viciée dans son acte qui est de connecter la chose existante à l'intellect. Les gadgets et la destruction de l'éducation ont fait des ravages énormes et ont détruit la capacité de lire, de réfléchir. Nous arrivons au stade final du repli contre-nature de l'intelligence sur elle même, qui fut commencé jadis par Luther et Descartes.

Marcel de Corte dirait aujour'hui que l'intelligence est morte. Il y a un degré d'aveuglement immense, à l'infini:
* Les vaccinés, porteurs du virus, peuvent circuler même s'ils répandent l'épidémie, et les non porteurs non vaccinés doivent rester chez eux et représentent un danger pour la population.
* On ne peut plus faire confiance à l'immunité naturelle : en dehors des vaxcxins, pas de salut !
* L'hydroxichloroquine et l'ivermectine sont des produits dangereux qui doivent être retirés du marché.
* Seul le vaccin fonctionne, même s'il ne fonctionne pas. Il épargne les formes graves mais on ne peut pas lui imputer les innombrables accidents graves qu'il cause.
* Par conséquent, les non-vax sont des imbéciles dangereux pour toute la société.
* Omicron est bénin, mais c'est cela même qui nous incite à être encore plus vigilants.
* Le port du masque doit rester obligatoire pour les enfants.
* La consommation de nourriture dans les trains doit être effectuée rapidement.
* On a le droit de tomber malades à condition que ce soit après le vaxzinzin.


Malgré les faits réels, accessibles, l'intelligence ne fonctionne plus.

"Quos Deus vult perdere, dementat"; Dieu rend fous ceux qu'il veut perdre, il les laisse tomber dans une nasse et la nouvelle vertu civique covidique, c'est la lâcheté. La volonté suit l'intellect, elle devient veule. On dirait que tout cela est justice.

Quand?
C'est un gros problème. Sauf intervention divine, nous ne savons pas quand cette tyrannie vaccinale s'arrêtera. L'Europe a commandé douze doses par citoyen en un revers de main. Restent ainsi neuf doses à subir pour que le pass ne soit pas désactivé, et que ne soient perdus les "avantages".

La fausse liberté nous aura menés à l'esclavage, la multiplication talmudique des préceptes, au nom de la sécurité et de l'urgence sanitaire. Les choses étaient déjà hyper régulées avant la crise, mais ici la cage se referme.
On nous parle d'implant électronique suédois, mais le puçage a déjà commencé, et deux procès sont intentés sur cette question en Suisse et en France (par des vaccinés pas contents, pucés à leur insu). Avec un téléphone portable et un peu d'expérience, on peut capter le signal bluetooth qu'émettent les vaccinés. Le puçage répond par la perpétuité à la question "Quand?"

Voilà pour les avantages, j'espère que l'abbé Pagliarani ne représente pas toute la Fraternité, mais si c est le cas, ils sont complètement à côté de la plaque.

Tout cela au grand dam de la moitié des fidèles de la FSSPX, qui ne sont pas aveugles et qui réfléchissent correctement sur cette question, comme le site MPI et Civitas par exemple.

Pour légitimer l'accès vaccinal à ces "avantages", le Supérieur Général amène trois exemples:

1. Les prélèvements d'organes.

"Dans la mesure où on ne tue pas dans ce but.." est bien une manière de traiter le volontaire indirect, mais que doit-on penser des 70 enfants tués dans le but de tester chaque vacxin? Ils ont été tués dans ce but, puisque le testage est une étape de la fabrication du vaxcin.
L'effet bon ne doit pas venir de l'action mauvaise, dit la théologie, avec St Paul "Non faciamus mala ut eveniant bona".

L'exemple des meurtriers, celui des cartels mexicains qui sont connus pour ça, est complètement inapproprié: acheter des organes auprès de ces meurtriers ne fait qu'encourager leurs crimes. Et on ne peut pas non plus retirer un organe d'une personne sans son autorisation, ni avant la mort clinique. L'abbé Pagliarani aurait dû prendre l'exemple des victimes d'accidents de la route qui ont exprimé une volonté de don.
C'est comme la revente de pièces de voitures volées. Ici, on prend part au business de ceux qui tuent les enfants de façon industrielle, et Big Pharma est en train de récidiver avec de nouveaux vaccins. On facilite aussi beaucoup la corruption, ici aux Philippines c'est flagrant. Chaque dose "coûte" 3000 pesos, une fortune, il y a surfacturation puis bakshish.

2. "Transformation de mosquées en églises."

Transformer le Panthéon de Rome en église n'est pas un mal, et il est évident que les croisés espagnols n'ont pas d'abord construit une mosquée pour en faire une cathédrale. Il s'agit d'un triomphe de la Croix sur le Croissant. Les bâtiments, dans leur composante structurelle, voire même artistique - somme toute indifférente - changent de camp dans les deux sens, hélas.
La mosquée de Séville était un bâtiment splendide; et au lieu de brûler la bibliothèque d'Alexandrie, comme le Calife Omar, le Chrétien préfère conserver tout ce qui est beau et utile.

Mais là n'est pas la question. Car, en quoi peut-on transformer un produit aussi mauvais et dangereux en quelque chose de bon? Qu'a-t-on à retirer de cette permission de respirer dans le paradis médicommuniste?

Seule la Justice Divine est capable de tirer un effet bon supérieur à cette calamité, pour punir l'apostasie de l'Occident, tandis que la Chine et la Russie en réchappent avec des vaccins classiques non stérilisants, le Brésil avec Bolsonaro et la plupart des pays d'Afrique avec... le bon sens.

3. "St Paul autorise de manger la viande offerte aux idoles..."

...si le frère n'est pas scandalisé, pas en toutes circonstances. Ici toutes les circonstances sont au rouge, comme nous l'avons vu et l'acte lui même est une thérapie génique expérimentale qui, c'est ce que nous constatons, dégrade l'immunité naturelle des gens. Les pays malades sont les pays vaccinés, à l'inverse des non-vax, coupablement en bonne santé.

Dans le cas de Corinthe, l'animal est tué et les fragments sont mis en vente sur le marché. L'immolation aux idoles ne constitue pas l'acte essentiel, mais est adventice et ne corrompt pas la bonté originelle de l'acte de disposer d'un animal. Contrairement aux faux vaccins, on peut faire abstraction de l'action idolâtrique du païen, par la nécessité même de l'acte de se nourrir.

Dans le volontaire indirect, l'effet bon doit excéder l'effet mauvais. Ce n'est pas le cas du prétendu vaxche. Si le père de famille détruit sa santé, non seulement il perdra son travail, mais il ne pourra plus travailler, (comme mon propre cousin, Herve Matet, rendu ex-pilote de ligne, grâce a un AVC vaccinal, dès la première dose je crois).
L'avantage de prévenir les gens est aussi que s'ils désobéissent et tombent malades, ils nous font plus confiance. Nous avons plusieurs cas ici. Les fidèles sont reconnaissants.

Comment les prêtres de la Fraternité pourront-ils faire face à leurs fidèles quand le nombre des victimes augmentera beaucoup? Pourront-ils se refugier en disant, "c'était à vous de décider", "Menzingen locuta est", alors qu'un grand nombre de bons prêtres et évêques ont condamné à temps les vaxshins covidiens?

Soyons honnêtes, la moitié (?) des prêtres de la Fraternité est en désaccord avec la position de Menzingen et rejetait déjà le torchon de l'abbe Sélégny. 

Garderont-ils à nouveau le silence, comme en 2012, il y a dix ans? Ce sera plus difficile cette fois, car il ne s'agit pas d'arrangements canoniques discrets, loin de la perception des fidèles. Cette fois, l'attaque de l'enfer est beaucoup plus menaçante et visible sur les brebis, sur les innocents, et les choses ne cessent d'empirer depuis deux ans. Les enfants des fidèles sont aussi menacés. 

Difficile de rester neutres, difficile de se taire, il y aura des comptes à rendre cette fois; et félicitations aux abbés Lang, Rusak, Noronha et d'autres encore, dont on n'a pas connaissance, mais ils viennent tous d'être pris a contrepied.

A vue humaine, c'est tout de même mal parti, si l'on suit ce qui se passe dans le prieuré de Nouvelle Zélande.

Beaucoup de bonnes surprises se font jour en dehors de nos milieux, même chez le schismatique orthodoxe Novax Djokovic. On dirait que Dieu se prépare à redistribuer les cartes.

Prions pour que  les assoupis se ressaisissent et qu'ils comprennent la Vérité, qui est sécurité à long terme.
Nous avons tout essayé, depuis dix ans, pour les réveiller.
Tournons-nous vers Celui qui seul est en droit de laisser le mal augmenter, voire même de créer le mal "secundum quid", (l'écriture dit "qui creas malum"), pour un plus grand bien.
Qu'il rende la lumière à ceux qui ont commis la terrible erreur de Lui tourner le dos dans nos malheureuses sociétés issues de la Révolution.

Il n y est pas tenu, sauf, d'une certaine façon, par nos prières et nos sacrifices, et par le fait qu'ils ont été trompés, et "qu'ils ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche"(Jonas).


"Potens est enim Deus statuere eos" (Romains).
In Iesu et Maria.
fc+



jeudi 20 janvier 2022

Le Valais pleure le décès d'un grand prêtre de la Fidélité


M le Curé Epiney s'est doucement éteint dans sa maison de Riddes en ce 15 janvier 2022.

C’est un grand prêtre qui vient de quitter cette vallée de larmes pour rejoindre son Maître. Le monde sans Dieu l'ignorera mais il fut grand dans l’histoire de l'ultime combat que l'Eglise militante mène actuellement ; sa vocation lui fut révélée mystérieusement par un prêtre capucin alors qu'il n'était qu'un enfant. Il fut le sauveur de nombreuses âmes sacerdotales en péril mais surtout l'ami fidèle de Mgr Lefebvre et de Mgr Williamson. Soutien indéfectible à la Tradition catholique dès le début et plus spécialement de la Fidélité Catholique en ces horribles temps de trahison universelle. 

Il a traversé et supporté toutes les tempêtes, vexations, vicissitudes et trahisons. Il refusa aussi de se taire face au ralliement de la FSSPX et à l’esprit de compromission qui fut celui de d'un grand nombre de prêtres de cette œuvre. C'est pourquoi il continua d'inviter Mgr Williamson chez lui jusqu'au bout parce qu'il voyait bien dans la figure de l'évêque anglais la continuation du combat catholique initié par Mgr Lefebvre. Cela lui valut d'être persona non grata du séminaire voisin... Il fut donc doublement un homme de la Fidélité. 

Le 3 juin 2021, il avait célébré son jubilé de diamant à Riddes entouré par de nombreux prêtres amis venus des 4 coins de l'Europe. 

L'enterrement du Curé Epiney a eu lieu en ce 19 janvier. M. l'abbé Grenon, son successeur  a célébré la Messe de funérailles et M. l'abbé Koller prononça un magnifique sermon en souvenir du Curé. Un seul prêtre de la FSSPX était présent à la cérémonie - masqué jusqu'au front - sans doute l'œil de Moscou. 



 Il faut certes prier pour le repos de l’âme de ce grand soldat de la Foi que fut le curé Epiney, mais il faut aussi l'implorer pour que de nombreux prêtres et fidèles gardent ou retrouvent son zèle ardent pour la défense de la Foi Catholique. 

sermon de M l'abbé Koller : ici :



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Voici le sermon que donna Mgr Lefebvre le 29 mai 1986 à l’occasion de ses 25 ans de sacerdoce.

Cher Monsieur le Curé,

C’est à vous d’abord, qu’iront mes premières paroles, pour vous féliciter et me faire l’interprète de tous ceux qui sont venus ici, sans doute pour la Fête-Dieu et pour honorer Notre Seigneur JésusChrist dans le sacrement de l’Eucharistie aujourd’hui, mais aussi par une délicatesse de la Providence, ils peuvent en même temps vous fêter et avec vous, au cours de sainte Messe, rendre grâces à Dieu pour votre sacerdoce, pour toutes les grâces que vous avez reçues et toutes les grâces que vous avez données.

Ce serait à vous, cher M. le Curé, à dire, à exprimer toutes ces grâces que vous avez reçues au cours de votre vie, tout ce passé, depuis votre naissance jusqu’à ce jour, vous est mieux connu qu’à moi. Et donc vous pourriez le faire avec beaucoup plus de précision que je ne puis le faire, mais cependant, je voudrais dire brièvement, dire ce que le Bon Dieu a fait pour vous et pour nous puisque vous nous êtes bien proche et bien attaché : Sed ego elegi vos (Jn 15,16) : « Mais c’est moi qui vous ai choisi ». Elegit Deus sacerdotem suum. « Dieu s’est choisi son prêtre ». Je crois que l’on peut le dire d’une manière toute particulière pour vous, cher M. le Curé, vraiment le Bon Dieu vous a choisi. Tout nous le prouve, tout nous l’indique. Il vous a choisi en vous faisant naître dans une famille profondément chrétienne. Votre mère, ici présente, vous a donné, avec votre père désormais au Ciel, une vraie formation catholique, une formation chrétienne profonde, dans un cadre de montagnes qui exprime aussi d’une manière toute particulière, la grandeur du Bon Dieu, la beauté de Dieu, qui vous a donné l’occasion d’être formé d’une manière rude aux vraies vertus chrétiennes, dans ce pays au climat difficile. Que de souvenirs tout cela doit vous rappeler. Et puis, le Bon Dieu vous a choisi pour être son prêtre. Il y a donc vingt-cinq ans que vous avez reçu l’onction sacerdotale et que vous êtes prêtre du diocèse de Sion.

Cette année du sacerdoce en 1961, était l’année de la veille du concile préparateur de bouleversements, de grands changements dans notre Sainte Église. Et par une grâce particulière du Bon Dieu, vous avez su garder le sens de la foi, le sens de ce qui vous a été donné au séminaire. Et, encore jeune vicaire, puis jeune curé, à l’occasion des réunions sacerdotales, vous n’avez pas hésité à manifester votre réprobation des changements que vous voyiez venir et qui vous semblaient – à juste titre – contraires au bien de l’Église, contraire au bien des âmes. Alors vous l’avez dit sans ambages. Et, pour manifester votre attachement à l’Église de toujours, vous avez aussi gardé votre soutane, votre habit ecclésiastique, persuadé que c’était là une manifestation de votre attachement à la foi et au sacerdoce.

Et puis, la Providence a voulu que votre évêque vous nomme à Riddes, sachant parfaitement que C’était un ministère particulièrement difficile – Riddes n’était pas réputée pour sa ferveur chrétienne – et par conséquent dans un milieu où il y avait beaucoup à faire et où votre zèle aurait pu s’exercer, que votre évêque vous a envoyé. Et non seulement pour évangéliser, mais aussi pour construire une église neuve, de même que vous aviez, en définitive, à construire l’Église spirituelle, vous aviez également à construire l’église matérielle. Et c’est ce que vous avez fait. Vous avez fait les deux, cher M. le Curé, vous avez rendu à Riddes sa foi d’antan, vous avez rendu à Riddes une église, une église neuve. Mais voici qu’étant à Riddes, vous étiez à la fois le curé d’Écône. Et encore par une grâce particulière de la sainte Providence, Écône est devenu ce que nous connaissons aujourd’hui : le séminaire d’Écône, avec d’ailleurs l’autorisation de l’évêque de Sion. Et par conséquent il n’y avait aucune difficulté, au contraire, à ce que le séminaire soit très uni à la paroisse de Riddes, qui était notre paroisse. Et nous avons trouvé précisément le curé que le Bon Dieu nous avait préparé. Ferme dans la foi, attaché à la Tradition, prêt à lutter s’il le fallait pour garder sa foi, pour garder son sacerdoce d’une manière intégrale.

Alors, désormais Écône et M. le Curé de Riddes ont connu des liens qui sont restés dans une fidélité admirable. Et c’est là qu’un choix, cher M. le Curé, a dû être fait par vous, malgré la douleur de rompre apparemment avec le diocèse, vous avez préféré garder la Tradition, garder la foi, plutôt que de voir le désastre s’introduire dans votre église, dans votre paroisse comme dans les autres paroisses, de voir les paroisses désertées ; comme le séminaire de Sion qui a fermé ses portes pour envoyer les quelques sujets qui restaient, à Fribourg. Vous avez préféré continuer votre ministère sacerdotal tel que vous l’aviez reçu des mains de votre évêque et tel qu’on vous l’avait enseigné au séminaire.

Vous n’avez pas voulu changer et vous êtes resté le prêtre, le curé catholique de toujours. De cela nous vous félicitons de grand cœur. Malgré les épreuves que vous avez dû subir, vous êtes resté fidèle.

Et voici que désormais, vingt-cinq ans de sacerdoce ont passé. Et grâce à vous, cher M. le Curé, le Valais reste encore catholique. Je crois que nous pouvons le dire et nous devons le dire. Sans doute, vous me direz : Mais Écône est devenu aussi le symbole de la catholicité, le symbole de la fidélité à l’Église de toujours. Mais ce n’est pas Écône qui a maintenu la foi dans ce cher Valais, c’est vous cher M. le Curé, c’est par votre intermédiaire. Si vous n’aviez pas été là, nous n’aurions pas connu cette affluence de Valaisans. Nous n’aurions pas connu ce maintien de la foi catholique dans les cœurs des Valaisans.

Aussi, je pense que les personnes ici présentes, qui sont d’ailleurs un petit nombre parmi celles que représentent tous les centres catholiques du Valais, vous remercient infiniment de les avoir aidées à garder la foi, d’avoir été le prêtre, le prêtre catholique qui maintient l’éducation chrétienne des enfants ; qui maintient la sanctification des familles ; qui maintient le Saint Sacrifice de la messe de toujours. Quelles grâces pour les fidèles du Valais. Et si nous pouvons dire qu’Écône est entouré également de ces chers fidèles, eh bien, nous vous le devons, cher M. le Curé.

Et si cette fidélité à Écône, malgré les épreuves que nous avons subies nous aussi, au cours de ces quinze dernières années, c’est toujours manifesté d’une manière permanente, sans faille, c’est bien à vous que nous le devons aussi, parce que, au milieu de ces épreuves, vous avez toujours été présent. Jamais vous n’avez changé ; jamais vous n’avez hésité. Vous êtes resté comme un roc, fidèle à Écône et fidèle à la foi, fidèle à l’Église. C’est cela que nous voulons être, c’est cela que nous devons être.

Alors de tout cela nous remercions le Bon Dieu et nous vous en remercions, cher M. le Curé, vous souhaitant à l’occasion de ces vingt-cinq ans de sacerdoce, de longues années encore de ministère, pour continuer à maintenir et à développer la vraie foi, la foi catholique dans ce pays qui a été la source de tant et tant de vocations, de vocations dans le diocèse, de vocations en dehors du diocèse, tant de missionnaires, tant de religieux et de religieuses sont sortis de ces familles valaisannes. Quelle est la famille qui ne comptait pas parmi ses membres ou ses proches, des religieux, des religieuses, des prêtres. Alors par votre action, par votre zèle, vous refaites et vous maintenez ce qui peut être encore maintenu dans les familles chrétiennes. Et de là viennent aussi les vocations 728

Cette année nous allons avoir la joie d’ordonner cinq nouveaux prêtres suisses. C’est là vraiment une grande grâce. Et c’est bien à votre exemple et à votre prière que nous devons ces vocations, cher M. le Curé.

Que le Bon Dieu vous bénisse, que le Bon Dieu continue à vous donner une forte santé et vous donne toutes les grâces dont vous avez besoin, pour continuer votre magnifique apostolat pour la gloire du Bon Dieu et pour le salut des âmes.

Mes bien chers frères, je ne voudrais pas prolonger trop longtemps cette prédication puisque nous avons une cérémonie assez longue aujourd’hui avec la procession du Saint Sacrement qui va suivre cette messe, mais remercions le Bon Dieu, mes bien chers frères, que cette fête du sacerdoce ait lieu précisément le jour de la Fête-Dieu, jour de l’Eucharistie, jour de la messe en définitive, puisque l’Eucharistie, c’est le fruit merveilleux, miraculeux de la Sainte Messe, du Sacrifice de Notre Seigneur Jésus-Christ. C’est donc aussi la fête du sacerdoce et la fête de l’Eucharistie.

Remercions le Bon Dieu et comprenons, gardons cette conviction que sans le sacerdoce il n’y a plus de vie chrétienne. Sans le sacerdoce il n’y a plus de familles chrétiennes, sans le sacerdoce il n’y a pas de Cité chrétienne. Tout est attaché au prêtre. Le Bon Dieu l’a voulu ainsi. Notre Seigneur l’a voulu : Faites ceci en mémoire de moi. Il l’a dit à ses prêtres : Faites ceci en mémoire de moi. C’est à eux qu’Il a confié le Sacrifice de la messe. C’est à eux qu’il a confié l’Eucharistie. C’est à eux qu’il a confié l’enseignement de la doctrine chrétienne ; qu’il a confié la sanctification des âmes et la conduite des âmes. Voilà le prêtre. Quel don extraordinaire : un saint Prêtre, c’est un don merveilleux.

Je suis bien sûr que vous priez, mes bien chers frères, de tout votre cœur, de toute votre âme pour que le Bon Dieu multiplie les saints Prêtres. Des saints Prêtres à l’image du cher M. le Curé de Riddes, tout entiers dévoués, zélés, pour le bien des âmes, pour le bien des familles, pour le bien de la Cité.

Le prêtre est à l’origine de toute la civilisation chrétienne, avec le Saint Sacrifice de la messe, par le Saint Sacrifice de la messe, par Notre Seigneur Jésus-Christ, pour le règne de Notre Seigneur JésusChrist.

Nous allons chanter tout à l’heure, les louanges à Notre Seigneur Jésus-Christ dans l’Eucharistie. Nous ne pouvons pas faire mieux ; que Jésus règne sur nous ; qu’il règne en nous, dans nos âmes ; qu’il règne dans nos familles ; qu’il règne dans nos villages ; qu’il règne dans notre Valais. Que ce Valais redevienne un Valais catholique, honorant Notre Seigneur Jésus-Christ, respectant les lois de Notre Seigneur Jésus-Christ ; ne mettant rien au-dessus de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Saint Benoît donnait comme devise à ses moins : Christo omninum nihi preponant : Que les moines ne placent rien au-dessus de Notre Seigneur Jésus-Christ ; que Notre Seigneur soit vraiment le premier servi, le premier honoré, le premier aimé.

Eh bien, que ce soit là aussi ici aujourd’hui, à l’occasion et de la fête du sacerdoce de M. le Curé et de la fête de la Sainte Eucharistie, notre devise : Ne rien mettre au-dessus de Notre Seigneur JésusChrist. Que Jésus règne en nous, dans nos foyers, dans nos cités, par l’intermédiaire et l’inter-cession de la très Sainte Vierge Marie.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.

mercredi 19 janvier 2022

Mise à jour des dates, desservants et lieux des Messes de la Fidélité Catholique en France

https://francefidele2.blogspot.com

https://francefidele2.blogspot.com


Vous trouverez sur le site France Fidèle les lieux, dates et desservants des Messes qui nous ont été communiqués par les prêtres de la Fidélité en France. 

La liste n'est pas exhaustive. 

N'hésitez pas à prendre contact avec les prêtres de la Fidélité

Site : https://francefidele2.blogspot.com

lundi 10 janvier 2022

Vaccin : « La FSSPX préfère se mettre à l’écart »

M. l'abbé Chazal s'est donné la peine d'écouter toute la conférence de l'actuel supérieur de la FSSPX (abbé Pagliarani aux États Unis en décembre 2021) qui donne l'orientation générale de l'oeuvre en ce qui concerne la question du COVI. D. 

Vous pourrez comparer cette position avec celle de Mgr Vigano et Williamson dans ce document : https://gloria.tv/post/TZArtwnPjwLY46yA1Kh3MHPQX


Forcé par le bêlement des brebis, l’abbé Pagliarani a enfin brisé son silence et formulé personnellement la position de la FSSPX sur les « vaccins » covidiques.

On est aux antipodes des déclarations de NN.SS. Viganò et Williamson, et de ce qui est, je l'espère, le consensus entre nous.

L’argument comporte trois raisonnements sophistiques et trois exemples tordus ou ratés.

C’est une catastrophe, une dégringolade de ceux qui étaient des phares sur les questions médico-morales, à la suite de Pie XII, qui doit être effaré depuis là où il est.

Même les drapeaux pontifical et américain ne sont pas à leur place et il faut de longues minutes au supérieur pour formuler sa position, « La FSSPX préfère se ranger de côté. » (23’)

Menu des sophismes.

Longue introduction... « je suis forcé de parler » « C’est très compliqué »...

A. LA MISSION DE LA FRATERNITÉ N’EST PAS DE SE PRONONCER SUR UNE QUESTION MÉDICALE.

B. LE GLOBALISME N’EST QU’UNE PARTIE DU SCÉNARIO.

Le covid, en tant que pandémie, est une punition de Dieu.

Les autres lois (mariage pour tous etc.) sont l’expression principale du globalisme.

C. LE MOUVEMENT ANTIVAX EST HÉTÉROGÈNE.

Trop d’anarchistes, de Verts etc.

Utilise les droits de l’homme comme argument.

Combat au nom des mêmes principes que les globalistes.

Ensuite pour répondre aux questions, l’abbé Pagliarani répète :

« Il est légitime d’accepter les vacxcsins... cependant c’est une décision prudentielle. » Pourquoi ? « Parce qu’il est légitime de tirer avantage de l’action mauvaise de son prochain dans la mesure ou l’on ne coopère pas avec lui. »

a. Dans la mesure où l’on ne l’a pas tué dans ce but, il est légitime de prendre l’organe de quelqu’un.

b. On a toujours transformé les mosquées en églises.

c. Saint Paul autorise à manger la viande offerte aux idoles.

... mais bon, « le dégoût pour l’avortement est compréhensible. »

A. UN PROBLÈME MORAL

La question du soi-disant vacssin covid est en passe de devenir le problème médico-moral le plus important de l’histoire, la terre entière est placée devant cette fausse alternative, alors que le traitement de la maladie ne coûte rien et est très efficace, même aux stades avancés, comme j’ai pu le constater.

La malice de ce vaccin est loin de se fonder uniquement sur ses sources abortives, mais surtout sur la multitude de tests réalisés sur 70 à 80 bébés vivants, chacun soumis à des prélèvements sur différents organes pour tester le vacxcsin. Les compagnies pharmaceutiques l’admettent, sans trop rentrer dans les détails, mais l’article publié dans MPI à ce sujet vient d’être confirmé lors d’une audition dans un procès intenté par une femme à une compagnie du « Big Pharma » américain.

En outre, les effets secondaires du prétendu vacschin sont tellement nombreux que se pose la question du 5e commandement par rapport à notre propre santé, tant les cas d’AVC, de thromboses, embolies, myocardites, inflammations du cœur et tachycardies sont fréquents et qu’il y a déjà beaucoup de décès. Ajoutons les effets à moyen et long termes, (Particulièrement sur le système immunitaire), promis par le Professeur Montagnier, par [Robert Malone] l’inventeur même des vaccins ARNm, par l’ancien numéro deux de Pfizer et tant d’autres. Il y a aussi l’effet abortif et stérilisant avec enfin le caractère mutilant de cette mutation génétique permanente de tous ces êtres humains.

Dire que nous ne faisons face qu’à un problème médical est ahurissant au vu de la montagne de problèmes moraux qui nous fait face, et tout le monde insiste sur le fait qu’il y a réellement un problème moral à résoudre, des conservateurs du novus ordo, en passant par les protestants, jusqu’aux rabbins et imams... Même nos ennemis en font une question morale, à commencer par le Pape François qui insiste que la prise du vacssssin est un acte d’amour. Sssss.

Tout le paradoxe est là : Les médecins disent qu’il y a un problème moral alors que les princes des prêtres disent que ce n’est qu’un problème médical !

Le professeur Raoult dit que le refus du traitement précoce est un problème déontologique inouï et vient juste de démontrer que le vaxchun n’a aucun impact sur l'épidémie.

Le Professeur Malone, commence sa prise de position en tant que père de famille... alors qu’il est l’inventeur même du vaccin à ARN messager ; il le dit, eu égard au caractère irréversible sur les enfants des séquelles causées par la protéine spike [de pointe].

B. FRUIT ULTIME DE LA RÉVOLUTION

On ne peut pas nier le caractère inique du monde et des lois issus de la Révolution, mais ce qui nous arrive depuis deux ans, n’est pas l’addition d’une loi entre tant d’autres, mais constitue une rupture, l'émergence du fruit ultime de la Révolution : le communisme. Les mensonges et le climat du 11-septembre n’étaient qu’une petite répétition de ce qui nous tombe dessus depuis deux ans.

Nos ennemis prescrivent le règne covidiotique de la « nouvelle normalité » : les déplacements, l’accès aux commerces et les activités publiques sont soumises à un régime de vérification grandissant. Nous n’avons jamais vu, à travers toute la planète, le confinement simultané de populations entières, la fermeture des écoles (depuis deux ans ici [aux Philippines]), l’imposition de la muselière universelle et ces restrictions grotesques.

Nous n’avons jamais vu un tel régime de traçage des populations, et autant d’intox et de censure de l’information.

Nous n’avons jamais vu des mensonges de cette taille, et des mensonges aussi contradictoires, comme « prenez le vaczin parce que ça marche, et la troisième dose parce que les deux premières doses ne marchent pas en fait. »

Nous n’avons jamais vu la privation effective de citoyenneté pour défaut de wakshun, tant de médecins menacés, tant de pères de familles privés de travail.

On nous parle de salaire universel, de future nouvelle nature de la monnaie.

Si ce n’est pas le communisme, alors le communisme, c’est quoi ?

Et tous ces fidèles privés de sacrements, comme le prédisait Notre Dame de Quito [Équateur, 16e et 17e s., apparitions reconnues par l’Église] ? Tous ces malades que le prêtre ne peut plus visiter. Ici, pas d’évêque, pas de confirmation, les ordres sont conférés a l’étranger au prix de paperasses innombrables. Les séminaristes internationaux ne peuvent plus rentrer pour étudier au séminaire le plus proche. Les restrictions, dans nos chapelles, ne nous intéressent pas, mais voyez la métamorphose covidiotique des centres de la Fraternité, à force de dire qu’il s’agit d’une « pandémie » ?!

On n’est pas encore comme en Hongrie du temps du Cardinal Mindszenty, mais on a fait un bon bout du chemin.

Et il est vrai de dire que le keuvide en tant que pandémie est une punition de Dieu ? Une pandémie par exemple, c’est la grippe espagnole, la peste noire, pas la grippette originelle de 2020. Même les saletés dérivées des vacchins (dixit Montagnier), delta, omicron, ne remplissent pas ces conditions. La punition divine, c’est le communisme et la vraie pandémie qui a déjà commencé à tuer beaucoup de monde, c’est le vaccin !

C. QUI INQUIÈTE TOUTE LA PLANÈTE

Pourquoi refuser de comprendre que les non catholiques sont aussi inquiets que nous, sous prétexte qu’ils se trompent parfois dans leurs raisonnements ? Depuis quand « L’acte bon de notre voisin accompli au nom de mauvais principes, empêche l’acte bon accompli en vertu de bons principes » ?

L’abbé Pagliarani pense qu'il faut se retirer, arrêter de construire parce que le voisin construit ses murs de travers.

Lors de la guerre de Corée, où les cathos se sont illustrés, on n’a pas seulement dit qu’il fallait être surnaturel ; on est allé se battre. Pourtant cette guerre était dirigée tant par le cruel franc-maçon Truman que par le sympathique Mac Arthur, franc-maçon aussi. Le communisme fut retardé, un peu partout, jusqu’en mars 2020.

Le général en chef des Cristeros n’avait même pas la Foi, mais il gagnait toutes les batailles, jusqu’à ce que Pie XI ait son mot à dire. Le cas de Charles Maurras et de la très bigarrée Action Française est historique en ce qui nous concerne. L’Action Française, c’était une arche de Noé contenant pas mal d’espèces dangereuses, dirigée par un athée... pourtant, « condamnable, mais pas à condamner ».

Les directives de St Pie X aux syndicats catholiques interdisent de fusionner ou d’engager des activités trop étroitement avec nos amis protestants et autres non catholiques dans le domaine syndical ; mais elles ne conseillent pas de se « mettre de côté », bien au contraire, et on a vu en France les catholiques sociaux faire beaucoup avancer les choses.

Sur la question de la liberté, depuis quand est-on du côté des libertaires, des « verts », des anarchistes, si l’on demande les libertés civiques ? Le droit ancien est rempli des mots liberté, ayant-droit, franchises, licences etc. Il paraîtrait même qu’un peuple porte le nom de « libre », sa monnaie à l’époque s’appelait le « franc ».

Nulle part il est nié par Léon XIII que la liberté est un « don précieux » (præstantissimum bonum). Mgr Lefebvre, qui voyait venir le communisme final, nous avait dit que la liberté est une condition de notre devoir d’état. Combattre pour restaurer cette condition est donc un devoir !

Nous avons toujours nié que ce sont les droits de l’homme qui ont inventé les droits civiques, et plus on fait des DDH sans Dieu, moins on a de droits. La preuve ? Maintenant.

Le temps est justement propice pour réinformer : pour que ceux qui manifestent pour les DDH le fassent pour la vertu de justice (légale) et pour le droit naturel ; en préparation au retour du Droit Révélé et des Droits de Dieu premier fondement du droit constitutionnel.

L’occasion est bonne, les gens souffrent, ils écoutent mieux. Sans Dieu, plus de droit, mais l’enfer sur terre, le communisme.

Il est étonnant que nous nous retrouvions a reprocher a la néo-FSSPX son étroitesse d’esprit, par ce refus de tirer dans la même direction contre ce communisme. Ce communisme est peut-être celui dont Sœur Lucie nous avertissait dans son dernier entretien avec le Père Fuentes. « Le communisme se répandra sur la terre entière, mais cela durera peu de temps ».

***

Avant de poursuivre, suggérons les trois catégories de problèmes, concernant le soi-disant vaquechun :

1. Le Communisme (avec sa foule d’aspects) ;

2. Les nombreux dangers physiques, tant pour la santé que pour la vie (la liste est longue) ;

3. Le lien avec l’avortement (tissus souche, tests, effets abortifs du vaxxin).

Le Communisme est le phénomène le plus grave ; il inclut en fait 2. et 3. ; et c’est le terme choisi par Notre Dame.


(à suivre)

jeudi 6 janvier 2022

Notre réaction face au pass 'vaccinal' Chute de la bête ? Epiphanie 2022

L'heure est grave car la "bête" est en train de vouloir achever son emprise tyrannique sur les âmes et les corps par l'imposition du pass 'vaccinal'. C'était probablement l'objectif réel du quinquennat de Macron ; ce qui explique bien sa rage contre les non- vaccinés qui freinent son plan diabolique et universel. 


Face à ce plan de la bête, il nous faut activer ce qui est notre arme principale, sans omettre les autres, à savoir la prière du Saint Rosaire. Arme mariale redoutable à Lucifer.

Il y a déjà de nombreuse âmes à s'être engagé à le réciter et nous pouvons penser que la Reine du Ciel nous y encourage puisque le parlement a mystérieusement bloqué par deux reprises le projet malgré la tentative de le promulguer pendant la nuit alors que les députés sont en général absents ou lassés par la longueur des débats. Notre Dame a éclairé certains députés qui commencent même à se retourner contre leur propre parti (LAREM ou LR). 

Le dérapage providentiel du président de la république avec ses mots orduriers contre les non-vaccinés ainsi que le constat de l'inefficacité totale du vaccin contre les virus va sûrement faire grossir le parti des résistants qui commencent à comprendre le piège. Mais ne nous illusionnons pas trop sur la masse qui semble comme subjuguée par la "Bête". 

Ne regardons donc surtout pas ces faits comme purement naturels : en vérité tout, jusqu'au moindre détail, est entre les mains de Dieu et de Notre Dame qui peuvent SELON NOS SUPPLICATIONS ET NOS BONS DESIRS ralentir ou abolir l'action du peuple déchu, des loges maçonniques, des hommes pervers et du démon. 

Ce qui veut dire que le sort des nations est essentiellement dans nos coeurs  et nos âmes (purs du péché et pénitents) et dans nos mains (par notre Rosaire récité avec ferveur tous les jours). 

Les âmes priantes et véridiques obtiennent ce qu'aucun homme superficiel et mondain ne peut obtenir à coup d'argent, de relations, d'intrigues. Mais bien peu comprennent cette sagesse et s'excitent ou tombent dans la tristesse d'un défaitiste. 

Ensuite, il est bon de rappeler qu'il faut que l'action extérieure soit dans la suite logique de cette prière. Et c'est là que tout se gâte bien souvent.  Dire sa prière pour l'abolition de la dictature sanitaire et mettre habituellement son masque, relativiser l'immoralité de l'injection, se fabriquer des faux pass est un non sens et une source de malédiction qui ne fera que précipiter la dictature et déchaîner les démons. 

Nos prières sincères et pleines de bons désirs ne seront jamais perdues même si par malheur le pass 'vaccinal' était promulgué; ces prières nous rendront fortes à l'heure du combat individuel et nous attirerons des joies  malgré les adversités, joies que le monde ne connaît pas. 

A l'occasion de cette grande fête de l'Epiphanie, tournons nos regards avec les saints mages vers Celui qui est le vrai Maître du monde malgré les frêles apparences et qui nous regarde et sourit parce que nous l'aimons plus que tout ! 

Que Dieu Vous bénisse, 

Abbé Matthieu Salenave 

A VOS ROSAIRES ! 
                                                  Messe à Saint Aignan à la lueur des bougies



mardi 4 janvier 2022

"Résistance" 2022

Mgr Williamson nous rappelle en ce début d'année civile les lignes principales du combat catholique. En termes bien frappés que chaque catholique devrait faire siens, il nous enseigne que la Fidélité Catholique "n’a besoin ni des grands nombres, ni de clinquant, ni d’approbation officielle, mais, pour éviter que les pierres n’aient à crier (v. Lc. 19, 40), elle exige de ses membres la fidélité à la vraie foi, et elle pourrait bien, à un moment donné, avoir besoin de martyrs."


La foi qui voit l’emporte sur l’obéissance
Aveugle, et la précède dans leur renaissance.

Si l’on entend par « Résistance » ce groupement peu structuré de prêtres et de laïques catholiques qui s’efforcent de maintenir et de vivre de la foi et de la morale catholiques traditionnelles, comme avant leur subversion radicale par le monde moderne à travers Vatican II, alors quelles sont ses perspectives pour cette nouvelle année ? En apparence, ces perspectives ne sont pas brillantes, car le Diable semble, avec les sornettes du Covid, gagner la bataille pour le contrôle de notre monde. En réalité, elles sont brillantes, car si la « Résistance » a survécu jusqu’ici, ce ne peut être que parce que Dieu lui accorde des grâces minimales de survie, conformément à sa promesse d’être avec son Église jusqu’à la fin du monde, et cette promesse tient toujours (Mt 18, 20).

Mais quels sont les principes sur lesquels le mouvement de la « Résistance » (ou de la « Fidélité », comme on l’appelle aussi) s’est constituée et se constitue encore ? La plupart des prêtres qui se reconnaissent comme appartenant au mouvement sont d’anciens prêtres de la Fraternité Saint Pie X. Ils ont dénoncé ses politiques adoptées officiellement depuis le Chapitre général de 2012. Ces politiques sont caractérisées par une sorte de bienveillance envers les dirigeants de l’Église à Rome, et envers les décisions de Vatican II qui façonnent ces dirigeants, allant dans les deux cas à l’encontre totale de l’attitude de Mgr Lefebvre, fondateur de cette Fraternité.

Mais qu’y a-t-il de mal à ce que les catholiques fassent preuve de bienveillance envers les dirigeants de l’Église ? N’est-ce pas un devoir impérieux pour les catholiques de faire preuve de respect et d’obéissance envers les responsables de l’Église, en particulier envers le pape ? Oui, c’est la règle normale, mais il y a une exception, lorsque la foi catholique est en danger. Hélas, elle est sérieusement mise en danger par les monuments de Vatican II (1962–1965), tels Lumen Gentium, Unitatis Redintegratio, Gaudium et Spes et Dignitatis Humanæ, entre autres. Mais pire encore que les erreurs graves mais particulières à ces documents conciliaires, disait l’Archevêque à la fin de ses jours, est le subjectivisme général qui les imprègne tous, c’est-à-dire cette confusion de l’esprit par laquelle l’homme oppose ses sentiments à la vérité objective. Car s’il n’y a pas de vérité objective, comment peut-il y avoir un vrai Dieu ? Vatican II en 1965 a ouvert grand la porte à la Pachamama en 2019.

Cependant, le pape (ou du moins le semblant de pape) Bergoglio ne fait-il pas preuve d’une bienveillance particulière envers la Fraternité Saint Pie X ? Selon Mgr Viganò (autrefois numéro 11 au Vatican), ce n’est que ruse de sa part pour inciter la Fraternité à abandonner son statut juridique d’indépendance vis-à-vis de la hiérarchie officielle de l’Église *, statut que Mgr Lefebvre a si soigneusement assuré à sa Fraternité, mais que ses dirigeants actuels ** semblent toujours vouloir échanger contre une acceptation officielle totale par l’autorité apparente de l’Église. Pourtant, en ce moment même, ces dirigeants doivent admettre que c’est uniquement le statut non officiel de la congrégation qui la protège du marteau de Traditionis Custodes, qui écrase actuellement toutes les autres communautés traditionnelles, lesquelles s’efforcent de préserver la vraie messe mais veulent encore respecter l’autorité sans vérité de ces Romains.

La sauvegarde de cette vérité qu’est la Foi Catholique, sans laquelle personne ne peut être sauvé (Héb 11, 6), était la mission, la force et la gloire de l’Archevêque et de sa Fraternité à l’origine. La force a été minée et la gloire ternie au cours des 10 dernières années par ne serait-ce que l’ombre d’un compromis avec les autorités ecclésiastiques infidèles. Mais la mission est restée, elle demeure pour cette nouvelle année, et en fait jusqu’à ce que Notre Dieu et Seigneur remette le pape sur pied. En attendant, la « Résistance », comme tout ce qui reste fidèle – c’est vrai pour toute époque – n’a besoin ni des grands nombres, ni de clinquant, ni d’approbation officielle, mais, pour éviter que les pierres n’aient à crier (v. Lc. 19, 40), elle exige de ses membres la fidélité à la vraie foi, et elle pourrait bien, à un moment donné, avoir besoin de martyrs.

Si les catholiques fixent leurs yeux sur le Ciel, et prient sérieusement, tranquillement, régulièrement, si possible tous les 15 mystères du Rosaire par jour, alors ils ne peuvent faire meilleur usage de 2022. Bonne année !

Kyrie eleison.

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* au sujet de cette stratégie bergoglienne de bienveillance à l'égard de la néo-FSSPX, nous vous invitons à lire cette étude parue dans MPI :
Intéressante analyse de la stratégie bergoglienne : pousser les « conservateurs » dans les bras de la FSSPX pour les marginaliser

** Dans sa dernière conférence publique donnée aux Etats-Unis (20 décembre 2021), l'actuel supérieur de la FSSPX (abbé Pagliarani), affirme certes que les discussions doctrinales sont au point mort mais pas un seul mot sur la remise en cause des reconnaissances canoniques pour les sacrements  et encore moins sur la dictature sanitaire. On sent une volonté de ne pas heurter François et d'accueillir les "ralliés" de 1988. La stratégie de François semble donc marcher à plein.

Cet accueil des ralliés de 1988 est en train de se produire; il y a par exemple des contacts entre l'Institut du Christ Roi et les autorités de la FSSPX de France.  

lundi 3 janvier 2022

Abbé Chazal - bilan et reconstruction après le typhon - appel à la résistance contre le covidisme

Après le désastre, la reconstruction - Dernières nouvelles de l'abbé Chazal - 



Chers Fidèles,


En cette nouvelle et Sainte année MMXXII, nous vous remercions tous chaleureusement pour votre prompte générosité à notre égard, et vous assurons aussi que nous avons dorénavant tout ce dont nous avons besoin pour la tache... sauf si la Providence nous envoie beaucoup de vocations ou si les vocations étrangères peuvent venir ici, auquel cas il nous faudra bâtir autre chose qu'un microséminaire.

Au final, le seminaire, la chapelle de Maasin et sept maisons de nos fidèles ont été détruites (Une a Pardo, et six a Buaya, Cebu), et la chapelle de Guindulman Bohol a été endommagée. Cela fait dix structures au total.

Au séminaire l'essentiel a été sauvé, les livres qui ont le plus souffert sont mes livres d'histoire, (que j ai presque lu de toutes façon), mais les livres religieux sont a peu près intacts, en particulier mes notes de séminaire dont je me sers pour les cours. 

Certains toits du séminaire se sont envolés si loin que les voisins nous ont demandé la permission de les récupérer pour reconstruire leur maison...

D'autres éléments du toit sont récupérables, comme beaucoup de bambous, qui sont en train d'être acheminés pour reconstruire les maisons détruites en ville.

Les parties en dur n'ont rien subi, et le bambou s'est poliment affaissé latéralement sans endommager l'essentiel.

Nous sommes en train de voir sur quelle propriété nous allons reconstruire en dur sur un terrain à nous, et souhaitons le faire au même endroit, Deo Volente.

Les arbres environnants ont été particulièrement dévastés, comme après une enorme explosion dit l abbe June Mark. Nos deux chats on disparu, les poules ont été mangées... et les chèvres, aucun problème!

Six familles de Buaya, LLC Cebu, sont touchées, et comptent une trentaine d'enfants. Deux familles se sont refugiées dans la chapelle de Buaya, pourtant si fragile, mais mystérieusement épargnée. Les deux logements précaires, attenant a la chapelle, n'ont eu que des dommages limités et sont déjà réparés.

Le maire de Buaya nous aide à reloger plusieurs familles dont les logements ont été détruits. Tout le monde a un toit, à manger et le minimum sanitaire.

Les trois logements attenants logeant trois familles, arrivaient à échéance, le bambou commençaient à réellement dater. Odette nous force à mettre un point final. Les fondations et les piliers de béton sont déjà là.

Le reste de nos fidèles a Cebu a souffert du manque d'électricité, qui empêche les pompes a eau, les ventilateurs, les machines à laver, les frigidaires, les ampoules, les téléphones, etc., de marcher, mais les choses retournent a la normale après deux longues semaines... de quoi donner envie de retourner à la campagne. "Quittez Babylone, pour n avoir aucune part a ses tourments", dit St Jean.

L'abbé June Mark est à la hauteur des événements, et les fidèles sont confortés par sa présence, assisté du bon Frere Louis.

A Maasin, Leyte, les travaux ont recommencé, et toutes les structures en dur sont intactes, l'Autel et le Tabernacle en particulier, ainsi que le beau et grand Crucifix. Là encore nous n'avons pas de permission pour construire en dur, je pense a une chapelle en "cross in square", plus basse, et extrêmement renforcée.
(Côté fsspx, les chapelles ont été endommagées seulement, mais les maisons de leurs fidèles ont été très atteintes. Certains de leurs fideles ont ete charitables envers nous, je me dois de le remarquer).

Et puis, qu'est ce que cette dévastation matérielle, facilement réparable, comparée a la dévastation des esprits, particulièrement dans la jeunesse, et particulièrement dans les coeurs qui auraient du faire éclore une vocation religieuse? Rien, presque rien, sauf une sorte d'illustration.

Dieu nous donnera t-il les vocations que nous espérons? Leur prix est tellement inestimable, bien au delà de tout ce que nous avons payé ou pouvons payer. A ce niveau, nous sommes totalement à la merci des éléments et du bon vouloir divin.

Et vous, chers amis, vous êtes tous sous la tempête de la tyrannie sanitaire, une tribulation qui a recouvert la terre entière. 

Résistons lui ensemble, revêtus de l'armure de la Charité, du bouclier de la Foi et du casque de l'Espérance. Il n y a que la tempête éternelle à craindre. Dieu nous garde tous, au plus fort de la tempête temporelle, plus forts dans la Foi, remplis de calme au centre de nos coeurs.

In Iesu et Maria,
fc+


samedi 1 janvier 2022

Remerciements -Voeux - Prières pour la venue de Mgr Williamson

Chers amis,

Malgré les épreuves traversées par l'abbé Chazal (séminaire détruit par le typhon), nous avons eu la joie de sentir tout le soutien et les prières de nos amis français, suisses et belges de la Compagnie de Marie St Pie X . L'élan de générosité pour reconstruire le séminaire de la Compagnie de Marie St Pie X aux Philippines nous a vraiment touchés et nous a prouvé combien votre attachement à cette oeuvre missionnaire vous tenait à cœur. Nous vous tiendrons au courant de l’évolution du chantier mais surtout des progrès du séminaire et des ses diverses maisons.

L'année qui s'ouvre sera sûrement une année où nous devrons manifester plus courageusement encore notre Fidélité Catholique en raison du « typhon" vaccinal qui va probablement tomber sur nos têtes. Seule notre totale et ferme intransigeance dans les principes contre cette marque de la bête sera notre salut. Pensons particulièrement à la malédiction que porte l’Ecriture Sainte contre ceux qui auront reçu cette marque de la bête (Apocalypse 13, 15 et 14, 9).

Dans la dictature cryptocommuniste actuelle, le ciel nous donne Mgr Vigano et Mgr Williamson qui tracent devant nos yeux la voie catholique à suivre. Prions et soutenons nous les uns les autres pour que ceux qui seraient menacés dans leurs professions ou leurs enfants ne cèdent jamais au chantage. Nous avons déjà des exemples héroïques autour de nous et des signes de bénédictions sur ceux qui n’ont pas cédés à cet horrible chantage.

Prions enfin pour que Mgr Williamson puisse franchir le « Channel » et venir le plus tôt possible en France pour fortifier les Fidèles et les prêtres bien seuls désormais dans la combat. La chose devrait se faire mais vous n’ignorez pas les obstacles que le démon peut poser à l’heure actuelle. La prière peut tout ! Surtout le Rosaire quotidien !

Au nom de l’abbé Chazal, bien chargé en Asie, les prêtres de la Compagnie de Marie, ses séminaristes, ses religieux et religieuses vous assurent encore de leur reconnaissance pour votre soutien et vous souhaitent une sainte année 2022.

Abbé Matthieu Salenave