Le professeur Fourtillan a récemment dénoncé l'implication de l'institut Pasteur dans la confection du virus et sa diffusion en Chine (crime contre l'humanité en bande organisée).
Cette information fut publiée dans le documentaire "Holdup". Le système se sentant menacé par la diffusion de telles informations "sensibles", ainsi que ses recherches sur la Valentonine et les vaccins, le préfet du Gard a donc été mandaté pour placer le professeur Fourtillan dans l'hôpital psychiatrique d'Uzès. Façon soviétique d'éliminer les opposants au régime et ceux qui le contestent avec des preuves.
Si certains pouvaient encore douter de la véracités des preuves détenues par le professeur, son traitement inhumain par le régime est la preuve manifeste qu'il dérange réellement le système en place.
Prions pour lui, demandons le secours de St Michel Archange pour que le professeur puisse être délivré de cette prison le plus vite possible.
https://youtu.be/MHvVl1M7Nm8
Les autres raisons de son incarcération : son travail sur la Valentonine et les remèdes aux maladies neuro-dégénératives :
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Les méthodes de "psychiatrie punitive" ont été le propre des régimes communistes et plus particulièrement en Russie soviétique où cette méthode fut systématisée par le régime. Même les grands scientifiques qui avaient l'audace de remettre en cause quelques orientations aberrantes du système se voyaient réduits à l'état de légume ou exilé.
Ainsi par exemple, Jaurès Medvedev qui remettait en cause les thèses biologiques en vogue en URSS dans les années 1940-1960, notamment le lyssenkisme accusé d'avoir contribué à voiler la réalité scientifique au profit du soutien de l'idéologie stalinienne. Pour étouffer la portée de sa contestation, le régime en place sous Brejnev décida son internement dans un hôpital psychiatrique après l'avoir accusé de démence. Le 29 mai 1970, Jaurès Medvedev fut placé à l'hôpital psychiatrique de Kalouga, officiellement pour avoir écrit quelques articles sur les violations des droits de l'homme en URSS, parmi lesquels ceux relatifs à la protection du caractère privé de la correspondance. Il fut ensuite libéré mais expulsé du pays et déchu de la nationalité soviétique. Dans ses articles, Jaurès Medvedev affirmait que les membres du KGB pouvaient ouvrir n'importe quelle lettre de n'importe quel citoyen d'URSS.
