jeudi 29 juillet 2021

Le Dieu qui perdure

Mgr Williamson nous rappelle ici que les lumières et les solutions radicales à toutes les crises humaines se trouvent dans le recours à la bonté divine qui ne fait jamais défaut en tout temps.  La crise covido-communiste n'échappe pas à ce postulat.

Commentaire Eleison 731 (17 juillet 2021)


La Judée véritable est l’Eglise de Dieu,
Elle aura un bon Pape ; et aussi un Roi pieux.


L’homme est toujours soumis au changement ; nul besoin d’en apporter la preuve. En revanche, Dieu ne change en rien, car il est l’Être par essence (et certains disent qu’Il n’existe pas !).De sorte que tout l’Être est en Lui. Il n’y a donc aucun être qu’Il puisse encore acquérir. Or, s’il changeait en quelque manière que ce soit, Il acquerrait de l’être de plus : Il ne peut donc pas changer. Les Psaumes ont tous été écrits par Dieu ; certes, par le truchement d’instruments humains, tel que le roi David, mais en définitive, par Dieu Lui-même. De sorte que chaque Psaume est un petit autoportrait du Dieu immuable, restant toujours fidèle à Lui-même, en dépit de toute la confusion des hommes dans les âges successifs, y compris dans le nôtre. Examinons le Psaume 77 (numérotation moderne 78) pour voir ce qui se trouve au cœur de la confusion covidiste, datant du printemps de l’année dernière. Ce n’est pas compliqué.

1–4 Le psalmiste commence par attirer l’attention de ses auditeurs : à la génération qui vient, il va conter les gloires de Dieu du temps passé, tout comme les générations d’antan les ont également racontées. (Remarquez ici l’appel à la Tradition. Constatez le contraste avec « l’éducation » d’aujourd’hui qui fait exactement l’inverse, allant jusqu’à interdire aux « éducateurs » de mentionner le nom même de Dieu).

5 Il a suscité un témoignage en Jacob, posé une loi en Israël, ordonnant à nos pères de les transmettre à leurs enfants ; 6 afin que la génération suivante en soit avertie, et que ces enfants, qui suivront, se lèvent à leur tour et les racontent à leurs enfants ; 7 afin qu’ils placent leur espérance en Dieu, qu’ils n’oublient pas les œuvres du Tout Puissant, mais qu’ils gardent ses Commandements ; (mais bien sûr, « l’éducation » moderne veut exclure Dieu.) 8 de peur qu’ils ne deviennent comme leurs pères : une génération rebelle, à la nuque raide, une génération au cœur infidèle, à l’esprit inconstant. (L’essence même de notre génération actuelle trouve ici sa description.)

9–20 A titre d’exemple : malgré tous les miracles par lesquels Dieu avait fait sortir les Israélites du pays d’Égypte et les avait conduits en Terre promise, malgré l’eau jaillie du rocher et coulant en quantité suffisante pour tout le peuple, il y en avait encore qui refusaient d’obéir à Dieu, estimant qu’il Lui serait impossible de les nourrir au milieu du désert.

21–22 C’est pourquoi, à force d’entendre les lamentations de ce peuple, le Seigneur fut rempli de colère ; un feu s’alluma contre Jacob, sa colère éclata contre Israël parce qu’ils continuaient de n’avoir aucune confiance en Lui et se défiaient de sa puissance salvatrice. (Pareillement, Dieu est aujourd’hui en colère contre l’Occident moderne athée, parce que celui-ci préfère accorder sa confiance aux « scientifiques », aux politiciens menteurs, aux matérialistes aveugles, plutôt qu’à Lui. L’épidémie du Covid en est un châtiment).

23–29 Pourtant, Dieu décida de nourrir les Israélites en abondance avec la manne. 30 Ils péchèrent encore. 31 Il les frappa de nouveau. 32 Ils ne croyaient toujours pas. 33 Il les fit donc mourir. 34–37 Alors ils se convertirent à Lui, mais ce n’était pas sincère. 38–40 Dans sa bonté, se souvenant de la fragilité humaine, Dieu leur pardonna. Mais combien de fois dans le désert ne L’ont- ils pas affligé ! 41–51 Combien de fois n’ont-ils pas oublié tout ce qu’Il avait fait en Égypte, pour punir et les Égyptiens et les Israélites. (Que de fois Dieu a flagellé l’Europe moderne, lui envoyant de terribles révolutions et des guerres sanglantes, et maintenant le Covid, – moins le supposé virus que l’épouvantable « vaccin » – Et pourtant, le peuple ne montre à Dieu que mépris).

52–58 Enfin, Dieu conduisit son peuple en Terre Promise mais, même là, les Israélites pratiquèrent l’idolâtrie. 59–64 Une nouvelle fois, Dieu montra sa colère, Il rejeta Israël et les livra à leurs ennemis (aujourd’hui : aux covidistes et aux communistes). 65–66 Une fois de plus, Dieu cède et, cette fois-ci, disperse les ennemis d’Israël. (Si seulement les Occidentaux se convertissaient à Dieu, s’ils revenaient à Lui, les covidistes et les communistes disparaîtraient dans un souffle d’air). 67–72 Mais Dieu, qui continuait toujours d’aimer Juda d’un amour de prédilection, lui donna le grand roi David.

Kyrie eleison.