Pour les 50 ans du Concile, de la "religion de l'homme qui se fait Dieu" (Paul VI, 8 déc. 1965) à la religion de la Terre divinisée.... |
| Sicut Leo rugiens, quaerens quem devoret... |
A l'occasion de la COP 21, et pour achever l'ouverture de " l'année de la Miséricorde", la façade de la basilique Saint Pierre de Rome a servi d'écran de projection à une spectacle sur le changement climatique, financé par des partisans du changement climatique et du contrôle de la population. Avec des images du monde, d'animaux, sont apparues également des symboles new age et des divinités païennes, dans un spectacle à plusieurs millions de dollars...
"Ces illuminations présenteront des images inspirées de la Miséricorde, du monde naturel et du changement climatique" a déclaré Mgr Fisichella. (Dieu aurait il été oublié ?)
Les réactions des catholiques conciliaires n'ont pas manqué: le père Zuhlsdorf, par exemple, cite le Dictionnaire catholique qui définit le sacrilège comme "le traitement irrévérencieux de choses, personnes ou lieux sacrés, c'est à dire, dédiées à Dieu ou à l'Eglise dans un objectif sacré. C'est un péché contre la vertu de religion, de sa nature même grave, mais admettant matière moins grave". Le père a également mentionné que cette image du lion sur Saint Pierre lui a rappelé l'épitre de Saint Pierre: "Adversarius vester diabolus, tamquam leo rugiens, circuit quaerens quem devoret" (votre adversaire, le diable, comme un lion rugissant, vous cerne cherchant qui dévorer)
