"Je pense que beaucoup de ceux qui nous ont quitté pour rejoindre Rome,
soi-disant n’est-ce pas, n’ont pas compris justement ce qu’est le libéralisme
et comment les autorités romaines actuellement, depuis le Concile en
particulier, sont infestées de ces erreurs. Ils n’ont pas compris. S’ils avaient
compris, ils auraient fui, ils auraient évité, ils seraient restés avec nous.
Mais ils ne veulent pas croire ces erreurs. C’est grave! Parce qu’en
se rapprochant de ces autorités, on est contaminé, forcément. Ces autorités
sont imbues de ces principes, vivent de ces principes - ces principes du
libéralisme. Nécessairement, elles agissent en conformité avec leur pensée. Et
donc, ils ne peuvent qu’avoir des relations avec nous. On commence à avoir des
relations avec nous – des relations qui peu à peu nous imposent ces idées
puisque ce sont les autorités. Ce sont les autorités, nous sommes les
inférieurs, alors elles nous imposent ces idées. C’est impossible autrement. Tant
qu’elles ne seront pas débarrassées de ces erreurs – ces erreurs du libéralisme
et du modernisme - il n’y aura pas moyen de s’entendre avec elles. Ce n’est pas
possible. On ne peut pas les approcher parce qu’immédiatement il faut qu’on se soumette
à leurs orientations."