mercredi 14 septembre 2016

Vicaire du Christ ou de Satan ? (IV): soutien au mondialisme, à l'invasion de l'Europe; oecuménisme et panthéisme (Miles Christi)

deuxième partie
troisième partie

8. Soutien à l’islam et à l’immigration musulmane en Europe
Voici quelques citations pour avoir un aperçu de la position de François vis-à-vis de l’islam. La première est tirée d’un discours tenu à des immigrés clandestins dans la paroisse romaine où ils étaient hébergés, le 19 janvier 2014, lors de la Journée Mondiale des Migrants:
« Partager notre expérience en portant la croix pour arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies: il est important que vous fassiez cela lors de vos réunions. Ceux qui sont chrétiens, avec la Bible; ceux qui sont musulmans, avec le Coran. La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer[1]. » 
La deuxième est un extrait de son homélie à Lampedusa le 8 juillet 2013 auprès de migrants clandestins musulmans:
« Je désire me tourner en pensée vers les chers immigrés musulmans qui commencent, ce soir, le jeune du Ramadan, avec le vœu d’abondants fruits spirituels[2]. »
La troisième fait partie de son Exhortation apostolique Evangelii Gaudium:
« Il est admirable de voir que des jeunes et des anciens, des hommes et des femmes de l’Islam sont capables de consacrer du temps chaque jour à la prière, et de participer fidèlement à leurs rites religieux[3]. » § 252
Pour François donc, le Coran aide les gens à avancer dans les difficultés de la vie, le Ramadan est source de fruits spirituels et la participation aux rites religieux musulmans est quelque chose d’admirable. François, par ces propos, ne fait que conforter ces pauvres gens dans les ténèbres de l’erreur mahométane. Est-ce bien charitable de sa part envers des gens qui ne se trouvent malheureusement pas sur le chemin du Salut? Est-ce bien celle-là, la mission du Vicaire du Christ, de faire l’éloge des religions fausses qui détournent de Notre-Seigneur Jésus-Christ? Est-il besoin de préciser que ses paroles envers les musulmans sont trompeuses et qu’elles ne sont pas conformes à l’Evangile? Tout dans les Ecritures Saintes et dans le Magistère de l’Eglise contredit les propos bergogliens. Il suffit d’avoir lu Saint-Paul pour le savoir.
François, à l’instar de ses prédécesseurs conciliaires, met en exergue la valeur spirituelle de la religion de Mahomet, mais il va plus loin qu’eux: il favorise ouvertement l’islamisation de l’Europe en préconisant l’arrivée massive d’immigrés musulmans. Il fait l’apologie de l’immigrationisme, par ses paroles et par ses actes. D’abord par ses actes: il est revenu au Vatican de son voyage à l’île grecque de Lesbos avec douze immigrés musulmans dans son avion privé. Par ses paroles aussi. Je cite son discours du 19 avril dernier dans le Centre Astalli pour les réfugiés, à Rome:
« Trop souvent, nous ne vous avons pas accueillis! Pardonnez la fermeture et l’indifférence de nos sociétés qui craignent le changement de vie et de mentalité que votre présence requiert. Traités comme un poids, un problème, un coût, au contraire, vous êtes un don[4]. »
L’immigration musulmane serait ainsi, aux dires de François, un don pour l’Europe. Et leur arrivée requiert, de la part des européens, un « changement de vie et de mentalité ». Or, puisque certains refusent de disparaître sous le raz-de-marée islamique, François les stigmatise et demande pardon aux soi-disant « réfugiés » pour la « fermeture d’esprit » et l’« indifférence » des affreux récalcitrants à l’invasion mahométane. Par ces paroles François diabolise publiquement les européens qui se battent pour leur survie et attise la haine et le mépris des envahisseurs musulmans à l’égard de ces populations blanches et chrétiennes « racistes et xénophobes » qui leur réservent un si mauvais accueil.
Son action est d’une valeur symbolique extrêmement puissante. Le geste bergoglien à Lesbos est aux antipodes de celui accompli par le pape Saint Pie V à Lépante, qui avait empêché la conquête de la Chrétienté par l’islam. Saint Pie V, pape de Trente, protège l’Europe contre les envahisseurs musulmans. François, pape de Vatican II, les emmène lui-même à Rome dans son avion privé aux yeux de tout le monde, montrant à la foule quel est l’exemple à suivre…
Dans le vol de retour à Rome une journaliste demanda à François pourquoi il avait privilégié trois familles entièrement musulmanes. Voici sa réponse:
« Je n’ai pas fait le choix entre chrétiens et musulmans. Ces trois familles avaient leurs papiers en règle, et on pouvait le faire. Il y avait par exemple, deux familles chrétiennes dans la première liste qui n’avaient pas les papiers en règle. Ce n’est pas un privilège. Tous les douze sont enfants de Dieu. Le “privilège” est d’être enfants de Dieu: cela est vrai[5]. »
Or, on n’est pas enfant de Dieu par la naissance, mais par adoption divine, à travers la réception du Saint Baptême et la foi en Notre- Seigneur Jésus-Christ. C’est bien connu. Enfin, en tout cas, c’était bien connu jusqu’à Vatican II…
9. François et le panthéisme
Ce n’est pas la première fois que François dit qu’on est tous des « enfants de Dieu », ce qui suppose une vision panthéiste des choses. A titre d’exemple, voici ses paroles dans la Vidéo du Pape du mois de janvier dernier, dans laquelle on voyait apparaître des symboles catholiques, juifs, musulmans et bouddhistes tandis que la voix hors champ de François nous expliquait que:
 « Beaucoup pensent de manière différente, ressentent les choses différemment, recherchent et trouvent Dieu de diverses manières. Dans cette multitude, dans cet éventail de religions nous avons une seule certitude pour tous: nous sommes tous enfants de Dieu[6]. »
Si on est des enfants de Dieu par nature, si la vie divine se trouve chez tous les hommes du seul fait d’exister, si on n’est pas surélevés à la vie de la grâce par un don de Dieu venant s’ajouter à notre condition de créatures, la différence entre l’ordre naturel et l’ordre surnaturel disparaît, la distinction entre le Créateur et la créature s’évanouit et on est donc de plain-pied dans le panthéisme. Voici ce qu’il a dit dans son entretien avec Scalfari:
« Je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique, car il n'existe pas de Dieu catholique, il existe un Dieu. Et je crois en Jésus Christ, son incarnation. Jésus est mon maître et mon pasteur, mais Dieu, le Père, Abba, est la lumière et le Créateur. Tel est mon Être. » [7]  
Il importe de décoder ce qu’a signifié François par cette courte phrase. Tout d’abord, il a nié l’existence de la Sainte Trinité, en récusant l’existence d’un Dieu catholique. Il va sans dire que, en disant cela, il a aussi nié implicitement le caractère surnaturel et la mission divine de l’Eglise. Ensuite, il a nié la divinité de Notre-Seigneur, en affirmant que Jésus est son maître et son pasteur « mais » que Dieu est la lumière et son Créateur. Enfin, il a fait profession de foi panthéiste en déclarant que son être est celui de Dieu: « tel est mon être », ce sont ses mots.
Voici un autre passage du même entretien:
« J'observe pour ma part que Dieu est lumière qui illumine les ténèbres même s'il ne les dissipe pas, et qu'une étincelle de cette lumière divine est au-dedans de chacun d'entre nous. Dans la lettre que je vous ai écrite, je me souviens vous avoir dit que notre espèce, comme d'autres, s'éteindra [!!!] mais la lumière de Dieu, elle, ne s'éteindra pas, qui finalement envahira toutes les âmes et alors tout sera dans tous[8]. »
Passons sur l’hérésie proprement inconcevable selon laquelle notre espèce « s’éteindra » un jour, comme les autres, ce qui défie toute imagination et tout bon sens, pour peu qu’on connaisse un tant soit peu les Ecritures. Mais revenons à la question du panthéisme. François le dit en toutes lettres, pas besoin de se lancer dans une herméneutique alambiquée sur ce qu’il a voulu dire: « une étincelle de cette lumière divine est au-dedans de chacun d'entre nous » et cette lumière un jour « envahira toutes les âmes et sera tout en tous ». Vous aurez compris également que le salut est universel, personne ne se damne, personne ne risque d’aller en enfer. Et c’est tout à fait logique, du moins François, à défaut d’être catholique, est-il cohérent dans ses idées, car: comment concevoir la damnation éternelle, laquelle implique une séparation irréversible d’avec Dieu et les élus, dans une logique panthéiste, où, par définition, rien ne saurait échapper à l’unique substance divine et dans laquelle toute dualité est exclue? Mais, s’il n’y a pas de mal ni possibilité de damnation, c’est que, au fond, il n’y a pas de péché non plus, ni besoin de Rédemption, laquelle, à la rigueur, ne consisterait qu’à « prendre conscience » de notre nature véritable, faisant disparaître ainsi la dualité et la division, seule source du mal chez l’homme.
10. François et l’œcuménisme

Concernant l’œcuménisme, François est dans un accord parfait avec la théologie novatrice de Vatican II. La seule spécificité de son pontificat, comme dans les autres domaines, consiste à rendre la rupture conciliaire encore plus flagrante, la conduisant jusqu’à ses dernières conséquences logiques. Passons en revue quelques citations. La première est extraite de la conférence de presse au cours du vol vers les Philippines le 15 janvier 2015:
« Chaque religion a sa dignité, chaque religion qui respecte la vie humaine, la personne humaine.[9] »
La suivante est tirée de son entretien avec Antonio Spadaro:
« Il est important pour les relations œcuméniques non seulement de mieux se connaître, mais aussi de reconnaître ce que l’Esprit a semé dans l’autre comme un don qui nous est aussi destiné. » Question du Père Spadaro: « Comment voyez-vous l’avenir de l’unité de l’Église? » Réponse de François: « Nous devons cheminer unis dans les différences: il n’y a pas d’autre chemin pour nous unir. C’est le chemin de Jésus[10]. »
Dans ce même entretien, François a expliqué qu’il existe une multitude d’ « Eglises », dont certaines sont plus anciennes que d’autres, les unes apportant la force de leur jeunesse, les autres, la sagesse de leur expérience. Cependant, elles ont toutes vocation à construire le futur ensemble, évitant de tomber dans le piège de l’autosuffisance et sans céder à la volonté d’hégémonie:
« Les jeunes Églises développent une synthèse de foi, de culture et de vie en devenir, et donc différente de celle développée par les Églises plus anciennes. Pour moi, le rapport entre les Églises d’institution plus ancienne et celles plus récentes est semblable au rapport entre jeunes et anciens dans une société: ils construisent le futur, mais les uns avec leur force et les autres avec leur sagesse. Nous courons toujours des risques, évidemment; les Églises plus jeunes celui de se sentir auto-suffisantes, les plus anciennes de vouloir imposer aux plus jeunes leur modèle culturel. Mais le futur se construit ensemble[11]. »
Le 26 juin 2016, à l’occasion de la conférence de presse au cours du vol de retour d’Arménie, François a fait l’apologie de l’hérésiarque Martin Luther, justifiant sa révolte et cautionnant sa doctrine hérétique sur la justification, et donnant au passage, comme à l’accoutumée, un abject coup de griffe à l’Eglise catholique. Voici ses déclarations:
« Je crois que les intentions de Martin Luther n’étaient pas erronées: c’était un réformateur. Peut-être certaines méthodes n’étaient-elles pas justes, mais à l’époque […] nous voyons que l’Église n’était pas forcément un modèle à imiter: il y avait de la corruption dans l’Église, il y avait de la mondanité, il y avait de l’attachement à l’argent et au pouvoir. Et pour cela, il a protesté. Ensuite, il était intelligent, et il a fait un pas en avant en expliquant pourquoi il faisait cela. Et aujourd’hui, luthériens et catholiques, avec tous les protestants, nous sommes d’accord sur la doctrine de la justification: sur ce point si important, lui ne s’était pas trompé [12]. »
Il n’est pas question de prouver ici que Luther s’est trompé et qu’il n’y a aucun accord possible entre protestants et catholiques au sujet de la doctrine de la justification, il suffit pour s’en persuader de lire le décret sur la justification promulgué le 13 janvier 1547 lors de la sixième session du Concile de Trente[13]. Voici le canon supplémentaire qu’il serait utile d’ajouter un jour à la liste du décret tridentin:
« Si quelqu’un dit que les intentions de Martin Luther n’étaient pas erronées, que c’était un réformateur, que l’Église à son époque n’était pas un modèle à imiter, qu’aujourd’hui, luthériens et catholiques sont d’accord sur la doctrine de la justification et que,  sur ce point, Luther ne s’est pas trompé, qu’il soit anathème. »
11. Vers un gouvernement mondial
Nous avons déjà abordé la question du mondialisme et de la façon dont François le favorise par tous ses moyens, notamment par sa « prédication écologique » et sa croisade contre le prétendu « réchauffement climatique ». Cette unité du monde en dehors du Christ et de son Eglise, bâtie dans un cadre laïc, naturaliste et révolutionnaire, a été évoquée par François à de multiples reprises. En voici deux, tirées de Laudato Si’, son pamphlet « socialo-écologiste »:
« Il devient indispensable de créer un système normatif qui implique des limites infranchissables et assure la protection des écosystèmes, avant que les nouvelles formes de pouvoir dérivées du paradigme techno-économique ne finissent par raser non seulement la politique mais aussi liberté et la justice. » § 53
« Depuis la moitié du siècle dernier, après avoir surmonté beaucoup de difficultés, on a eu de plus en plus tendance à concevoir la planète comme une patrie, et l’humanité comme un peuple qui habite une maison commune. Que le monde soit interdépendant ne signifie pas seulement comprendre que les conséquences préjudiciables des modes de vie, de production et de consommation affectent tout le monde, mais surtout faire en sorte que les solutions soient proposées dans une perspective globale, et pas seulement pour défendre les intérêts de certains pays. L’interdépendance nous oblige à penser à un monde unique, à un projet commun. » § 164
Concevoir la planète comme « une patrie », penser à « un monde unique », créer un « système normatif » avec des « limites infranchissables »: Est-il nécessaire de préciser que ce que François prône n’est rien d’autre que l’établissement d’un gouvernement mondial doté d’un pouvoir politique effectif et fondé non pas sur la loi évangélique mais sur les Droits de l’Homme sans Dieu et sur son faux Evangile Ecologique? Disons-le clairement: pour rendre coercitif le projet mondialiste, véritable cosmopolitisme apatride menant vers une République Universelle onusienne, sous prétexte de « souci écologique » envers notre « maison commune » menacée par le « réchauffement climatique », il faut un gouvernement planétaire en mesure de pouvoir imposer cette utopie totalitaire aux récalcitrants.
Ce dessein est encore plus explicite dans le passage suivant de l’encyclique, où François cite Benoît XVI, qui à son tour évoque Jean XXIII, ce qui prouve, s’il en était besoin, la continuité du projet mondialiste maçonnique des prédécesseurs de François depuis le CVII :
« […] la maturation d’institutions internationales devient indispensable, qui doivent être plus fortes et efficacement organisées, avec des autorités désignées équitablement par accord entre les gouvernements nationaux, et dotées de pouvoir pour sanctionner. Comme l’a affirmé Benoît XVI […]: ‘‘Pour le gouvernement de l’économie mondiale, pour assainir les économies frappées par la crise, pour prévenir son aggravation et de plus grands déséquilibres, pour procéder à un souhaitable désarmement intégral, pour arriver à la sécurité alimentaire et à la paix, pour assurer la protection de l’environnement et pour réguler les flux migratoires, il est urgent que soit mise en place une véritable Autorité politique mondiale telle qu’elle a déjà été esquissée par mon Prédécesseur, Jean XXIII’’ (Caritas in Veritate, juin 2009, n° 67). » § 175
Ce paragraphe numéro 67 de l’encyclique de Benoît XVI Caritas in Veritate constitue un véritable manifesto idéologique du Nouvel Ordre Mondial à mettre en place sous l’égide de l’ONU et fournit tout un programme d’action. Aussi est-il convenable de le citer en entier, malgré son étendue. Les italiques se trouvent dans le texte original:
« Face au développement irrésistible de l’interdépendance mondiale, et alors que nous sommes en présence d’une récession également mondiale, l’urgence de la réforme de l’Organisation des Nations Unies comme celle de l’architecture économique et financière internationale en vue de donner une réalité concrète au concept de famille des Nations, trouve un large écho. On ressent également fortement l’urgence de trouver des formes innovantes pour concrétiser le principe de la responsabilité de protéger et pour accorder aux nations les plus pauvres une voix opérante dans les décisions communes. Cela est d’autant plus nécessaire pour la recherche d’un ordre politique, juridique et économique, susceptible d’accroître et d’orienter la collaboration internationale vers le développement solidaire de tous les peuples. Pour le gouvernement de l’économie mondiale, pour assainir les économies frappées par la crise, pour prévenir son aggravation et de plus grands déséquilibres, pour procéder à un souhaitable désarmement intégral, pour arriver à la sécurité alimentaire et à la paix, pour assurer la protection de l’environnement et pour réguler les flux migratoires, il est urgent que soit mise en place une véritable Autorité politique mondiale telle qu’elle a déjà été esquissée par mon Prédécesseur, le bienheureux Jean XXIII. Une telle Autorité devra être réglée par le droit, se conformer de manière cohérente aux principes de subsidiarité et de solidarité, être ordonnée à la réalisation du bien commun, s’engager pour la promotion d’un authentique développement humain intégral qui s’inspire des valeurs de l’amour et de la vérité. Cette Autorité devra en outre être reconnue par tous, jouir d’un pouvoir effectif pour assurer à chacun la sécurité, le respect de la justice et des droits. Elle devra évidemment posséder la faculté de faire respecter ses décisions par les différentes parties, ainsi que les mesures coordonnées adoptées par les divers forums internationaux. En l’absence de ces conditions, le droit international, malgré les grands progrès accomplis dans divers domaines, risquerait en fait d’être conditionné par les équilibres de pouvoir entre les plus puissants. Le développement intégral des peuples et la collaboration internationale exigent que soit institué un degré supérieur d’organisation à l’échelle internationale de type subsidiaire pour la gouvernance de la mondialisation  et que soit finalement mis en place un ordre social conforme à l’ordre moral et au lien entre les sphères morale et sociale, entre le politique et la sphère économique et civile que prévoyait déjà le Statut des Nations Unies[14]. »
Tout est dit. L’ONU est devenue l’instance morale suprême de l’humanité, la Déclaration des Droits de l’Homme est le nouvel Evangile et les « papes conciliaires » en sont les porte-paroles dévoués et leur caution religieuse. L’âge de la Chrétienté et de l’unité catholique est révolu, place alors au Nouvel Ordre Mondial judéo-maçonnique, parrainé par la hiérarchie de Vatican II et leur religion adultérée mise au service des puissances infernales et œuvrant sans répit l’avènement du règne universel de l’Antichrist…


[1] S’adressant à des immigrés musulmans dans une paroisse romaine lors de la Journée mondiale des migrants, le 19 janvier 2014: http://www.romereports.com/pg155489-francis-to-refugees-christian-or-muslim-the-faith-your-parents-instilled-in-you-will-help-you-move-o-en
[2] Homélie à Lampedusa le 8 juillet 2013 auprès de migrants clandestins musulmans:
[3] Exhortation apostolique Evangelii Gaudium.
[7] Entretien avec Eugenio Scalfari dans La Repubblica.
[8] Ibidem.
[10] Entretien avec le Père Antonio Spadaro.
[11] Ibidem.