Quand quelqu'un s'aventure à proposer une théorie, ou analyser la situation actuelle très difficile, la plupart d'entre nous demande aussitôt : qu'est-ce qu'il faut faire ? La première chose est de bien penser. Mais il se trouve que penser est la dernière chose que nous voulons. L'école (éducation nationale) a réussi à enlever la jugeote et a éradiqué la comprenette. BFMTV ne fait que finaliser le processus.
Depuis le primaire jusqu'à l'université, notre pensée a subi un traitement diabolique : elle est encombrée, déroutée, savonnée, gelée, lancée sur de fausses pistes, réduite au court bouillon du diplôme et finalement laquée à l'extérieur avec tous les caramels de la pédanterie et de l'arrogance.
Voyez tous ces énarques, les science-potistes qui occupent nos administrations. Écoutez M. Macron déclarer stupidement la guerre à la Russie. Il est l'image parfaite de celui qui est atteint par ces maladies de l'esprit.
On passe par toutes les formes de déformation de l'esprit.
Voici une petite liste des travers que nous retrouvons chez ceux qui nous gouvernent : l'utopie, l'imprudence, l'impossibilité, l'insolence, la dureté de cœur, l'isolationnisme, l'effronterie, l'indiscrétion, le ressentiment social, la futilité, l'inopportunité, la faute de vision politique, le touche à tout, l'obscurantisme, le capitalisme, le socialisme, le mondialisme etc....
On retrouve aussi ces choses dans le monde ecclésiastique (Rosmini il y a un siècle, mais surtout à Rome actuellement). Si le monde ne pense pas bien, alors le communisme mondialiste 2.0 ou alors une autre recette politique mal pensée s'imposera. Il ne reste alors que la force de l'Esprit Saint et le bon sens paysan pour faire le grand ménage.
Si les hommes, et plus spécialement les chrétiens, ne se décident pas à passer le balai, c'est l'antéchrist qui le passera à leur place. Alors nous avons à commencer par nous laver nous-même. Pensons bien et prions pour bien penser.