Nous avons la joie de pouvoir publier la traduction, réalisée pour le blog Reconquista, de la déclaration des fidèles d'Australie et d'Asie s'opposant aux nouvelles orientations dans la FSSPX. Nous excusons du retard mis à la publier.
Déclaration et Appel des Fidèles d’Asie et d’Australie
A Son Excellence Monseigneur Bernard Fellay,
Supérieur-Général,
Fraternité Sacerdotale Saint Pie X (FSSPX),
Menzingen (Suisse)
19 février 2014
Votre Excellence,
Nous, les fidèles d’Australie et d’Asie, attachés à la Tradition Catholique, avons signé cette lettre de Déclaration Publique et Appel dans les buts suivants :
1) Remettre en question le changement de direction de la FSSPX sous votre autorité ;
2) Exposer :
a) Les erreurs graves ou ambiguïtés qui circulent au sein de la FSSPX et qui ont trompé beaucoup de fidèles ;
b) Le Libéralisme toujours croissant au sein de la FSSPX et qui semble influencé par les principes maçonniques ;
3) Insister que les Dogmes et les Doctrines de la Sainte Eglise Catholique ne doivent pas être diminués ou passés sous silence par les autorités de la FSSPX, mais pour dénoncer et condamner ceux qui les nient.
CHANGEMENT DE DIRECTION
Il nous apparait évident qu’au cours des 5 dernières années environ la FSSPX a altéré ses positions doctrinales et pratiques, et en conséquence son intégrité, sa force et son unité ont été minées de l’intérieur. Sa mission jadis intransigeante de mettre en garde les fidèles contre les dangereuses erreurs de notre temps c’est lentement dissipée.
Les preuves émanant de la FSSPX indiquent une intention toujours d’actualité de faciliter un accord avec la Rome moderniste. Le Préambule Doctrinal du 15 avril 2012, officiellement signé et soumis à Rome par vous-même, Monseigneur, est le témoignage d’un empressement à abandonner le Combat pour la Foi à travers de graves erreurs et des expressions ambiguës. De tels changements graves justifient notre résistance à tout affaiblissement de la doctrine qui amènera inévitablement à la perte des âmes et à l’implosion de la FSSPX.
Bien que plusieurs aspects doctrinaux restent à votre ordre du jour, il semblerait maintenant que ceux-ci soient secondaires et que vous estimiez la « reconnaissance canonique » être la priorité essentielle et l’objectif de la FSSPX en fonction de laquelle tout doit maintenant être « redéfini ».
Etant donné que vous avez admis que « Rome n’a pas besoin de se convertir pour que la Fraternité accepte une structure canonique » (bien qu’avec le supposé « droit à critiquer » Vatican II et le Novus Ordo), cette attitude sera tout simplement suicidaire pour la FSSPX et les fidèles qui soutiennent actuellement la Fraternité.
Avant 2007, la FSPPX était fidèle à l’ultime et constante position de Monseigneur Lefebvre qui avait avec raison reconnu l’impossibilité de faire un quelconque accord doctrinal ou pratique avec Rome tant que la hiérarchie officielle restait attachée au Modernisme et à Vatican II. Ce principe fut réaffirmé au Chapitre Général de 2006 de la FSSPX, mais a depuis été abandonné par les autorités actuelles de la FSSPX.
Les faits suivants ont montré que les Supérieurs de la FSSPX ont abandonné ce principe :
Réponse de Monseigneur Fellay et de ses deux Assistants à la lettre des trois évêques (14 avril 2012) ;
Déclaration Doctrinale présentée à Rome par Monseigneur Fellay (15 avril 2012) ;
Entretien de Monseigneur Fellay avec C.N.S (11 May 2012) ;
Révélations sur le « branding » [stratégie de marque] de la FSSPX par Mr l’Abbé Wegner (mai 2012) et exposées par Mr l’Abbe Girouard ;
Lettre de Monseigneur Fellay au Pape (17 juin 2012) ;
Le Chapitre Général de la FSSPX vote les « Six Conditions » pour rejoindre Rome (18 juillet 2012) ;
Lettre de Monseigneur Fellay à la Commission Ecclesia Dei (6 septembre 2012), demandant un «temps plus long de réflexion » avant de donner sa réponse à la proposition du 13 juin de Rome (Cf Monseigneur Di Noia le 27 septembre 2012) ;
Conférence de Monseigneur de Galaretta à Villepreux, en France, où il justifie les « Six Conditions » pour rejoindre Rome (13 octobre 2012) ;
Expulsion de Monseigneur Williamson (27 octobre 2012) et de nombreux prêtres qui s’opposaient aux changements ;
Déclaration des trois évêques à l’occasion du 25ème anniversaire des Consécrations Episcopales (27 juin 2013) ;
Mr l’Abbe Rostand unit le District des Etats-Unis avec la « Journée interreligieuse de jeûne et de prière » pour la Syrie, à l’initiative du Pape François, le 7 septembre 2013;
La nouvelle Croisade du Rosaire de Monseigneur Fellay nous invitant à prier pour « le retour de la Tradition dans l’Eglise » (sic !) (décembre 2013).
D’amples preuves nous montrent que, maintenant encore, la FSSPX prépare ses prêtres et ses fidèles à une « reconnaissance canonique » qui suivra un accord pratique avec la Rome moderniste.
D’autres confirmations de ces préparations sont le manque de mise en garde du haut des chaires de la FSSPX contre les hérésies de Vatican II, et les principaux responsables de ces erreurs, particulièrement les Papes récents. Les erreurs de Vatican II, autrefois souvent dénoncées par la FSSPX sont : le libéralisme, le modernisme, l’œcuménisme, le sécularisme, le naturalisme, le rationalisme, et le personnalisme.
GRAVE ERREURS ET AMBIGUITES
En conséquence, la FSSPX a visiblement affaibli sa position doctrinale envers la Nouvelle Messes, les nouveaux Sacrements, la liberté religieuse de Vatican II, l’œcuménisme et la collégialité, la Messe Indulte, la nouveau Droit Canonique, les enseignements sur la modestie catholique, les Juifs, etc.
Et ces fausses positions deviennent ensuite de faux principes dans les esprits de tous et chacun, et tous commencent à croire et à accepter ensuite que « les erreurs conciliaires ne sont pas si mauvaises » que la FSSPX nous les représentait, et que la hiérarchie moderniste est « en train de se convertir », et « s’ouvre maintenant à la Tradition ». Les fidèles baissent donc la garde et sont influencés en faveur de l’Eglise Conciliaire et de ses erreurs ; ils deviennent ainsi plus réceptifs à un accord avec Rome !
Vous savez bien que nous avons un double devoir envers la Foi : la professer et la défendre. La professer veut dire l’enseigner dans son intégrité et sa pureté, mais de graves erreurs et des ambiguïtés y font place. La défense est toujours caractérisée par la condamnation des erreurs ce qui est précisément ce que les autorités et les prêtres de la FSSPX ne font plus comme dans le passé. Pourquoi ? La principale raison de notre combat est LA FOI.
Notre résistance signifie le rejet des erreurs, ainsi que la dénonciation et l’opposition à tous les enseignements des Papes Conciliaires contraires au Magistère éternel et à la Tradition de l’Eglise.
Malheureusement, par fausse obéissance, la plupart des laïcs et un nombre important des prêtres de la FSSPX acceptent sans réflexion ou question les nouvelles déclarations des autorités de la FSSPX. Ayant entendu de nombreuses fois dire, bien que n’ayant pas été en mesure de le prouver, que « rien n’a changé et que les choses s’améliorent », ils altèrent petit à petit leur point de vue.
Le but de la Nouvelle Rome est clair - « convertir tous les traditionalistes à la ‘Nouvelle Religion’ » d’abord en leur promettant ‘monts et merveilles’, et ensuite en les assimilant aux erreurs de Vatican II et du Novus Ordo.
La meilleure preuve de tout ceci est donnée par les neuf communautés autrefois Traditionnelles qui, depuis 1988, ont compromis avec Rome en signant des accords similaires à celui proposé par la FSSPX. La FSSPX sera-t-elle la « toute dernière acquisition » pour la salle des trophées de la Nouvelle Rome ?
La Rome d’aujourd’hui ne s’est PAS détournée et ne se détourne PAS du Modernisme, bien au contraire. En conséquence, nous devons absolument refuser d’adopter une « mentalité de compromis », ou manquer à enseigner la vérité à nos enfants et au monde en général.
Dans l’intervalle, nous avons appris que, dans un effort pour améliorer la popularité et l’image publique de la FSSPX, un exercice terriblement coûteux et initialement secret de « stratégie de marque » a été commencé avec l’aide d’une compagnie de Relations Publiques. Cette initiative explique les changements de contenu et de ton des publications de la Fraternité, i.e., The Angelus Press, le Rapport Regina Caeli, DICI, sspx.org et même les écoles de la FSSPX. Pourquoi la Fraternité s’inquiète-t-elle tant de ce que pense le monde moderne anti-chrétien et réclame-t-elle sa ‘bénédiction’ ? Voici bien la preuve que le sécularisme a envahi la FSSPX.
Nous voyons clairement que l’esprit de la FSSPX est maintenant tiède et que le zèle ardent d’antan pour le combat de la Foi n’imprègne plus l’air de la Tradition !
« L’homme ne peut servir deux maitres », a dit Notre-Seigneur. Soit il est l’ami du monde profane et donc l’ennemi du Christ, soit il s’oppose au monde profane et choisi le Christ-Roi. Autre chose que le service du Christ est une trahison de Jésus-Christ et de sa Sainte Eglise Catholique et une trahison de la mission de Monseigneur Lefebvre par ailleurs.
Entre temps, bien qu’aucun accord pratique n’ait été encore signé avec la Rome moderniste, cela ne veut pas dire que le danger est passé ! Malgré les apparences, les Supérieurs de la FSSPX n’ont JAMAIS dit qu’il n’y aurait pas dans le futur la recherche d’un accord avec Rome. Au contraire, l’accord doctrinal est déjà fait à travers la Déclaration Doctrinale du 15 avril 2012, que vous n’avez pas rétractée ; et du côté pratique, les autorités de la FSSPX sont prêtes à rejoindre l’Eglise Conciliaire à TOUT MOMENT par le vote des « Six Conditions » du 7 juillet 2012. Ces deux documents sont toujours DISSIMULES aux fidèles de la FSSPX parce que vous refusez de les publier.
Dans la Déclaration Doctrinale du 15 avril 2012, vous acceptez de vous soumettre à l’autorité du « Magistère » Conciliaire ; vous adoptez « l’herméneutique de la continuité » de Benoit XVI à travers laquelle vous essayez de réconcilier les erreurs de Vatican II avec « toute » la Tradition ; vous dites que la collégialité n’est pas un problème, et dites la même chose des hérésies de l’œcuménisme et de la liberté religieuse. De plus, vous étiez prêt à signer la Profession de Foi de 1989 rédigée a l’origine par le Cardinal Ratzinger. Vous avez déjà dit que les nouveaux sacrements et la Nouvelle Messe ne sont pas seulement valides mais bien pire, qu’ils ont été « légitimement promulgués ». Vous étiez d’accord pour accepter le Nouveau Code de Droit Canonique. En bref, vous avez laissé tomber TOUS les points principaux de Doctrine que la FSSPX a toujours condamnés dans l’Eglise Conciliaire.
Nous ne croyons PAS que « Vatican II appartient à la Tradition Catholique » et nous ne croyons PAS non plus et rejetons que « l’enseignement du Concile Vatican II… éclaire… approfondit et par conséquent explicite… certains aspects de la vie et de la doctrine de l’Eglise », comme vous l’avez affirmé dans cette Déclaration.
Les soi-disant « Six Conditions » requises pour rejoindre Rome, approuvées par le Chapitre Général de 2012, sont totalement insuffisantes à protéger la FSSPX dans sa mission originelle, surtout dans le fait qu’elle ne mentionne pas la seule condition établie pas Mgr Lefebvre pour collaborer avec les autorités de l’Eglise - leur CONVERSION à la Foi Catholique.
LIBERALISME AU SEIN DE LA FSSPX
Le Libéralisme qui a infiltré la Fraternité est clairement démontrable à travers les nombreuses déclarations publiques, conférences, entretiens et retraites que vous-mêmes et les autres membres de la FSSPX ont donnés. Les éléments du Libéralisme qui se sont insinués dans nos communautés locales sont, entre autres, la relaxation des principes de la modestie catholique ; la promotion indiscriminée du « planning familial naturel » et même l’acceptation des pratiques abortives telles que « l’accouchement précoce » de bébés non viables ; le manque d’encouragement à avoir des familles nombreuses ; la promotion de littérature non-catholique dans nos écoles ; la promotion des principes Maçonniques et Libéraux, comme dans le cas de la « philosophie » du Saint Thomas Aquinas College à Tynong, dans le Victoria (Australie) ; l’adoption d’un curriculum séculier dans nos écoles ; l’emploi de professeurs non-traditionnels et même non catholiques dans les écoles de la FSSPX ; l’affirmation que Vatican II « n’est pas si mauvais » ; la « molle » commémoration l’an dernier du 25ème anniversaire des Consécrations Episcopales de 1988 ; et l’utilisation de fascicules Ecclesia Dei pour une messe de Requiem à la paroisse de Hampton, Victoria (Australie).
Partout nous voyons l’état d’esprit libéral voulant compromettre la clarté du langage pour « devenir plus acceptable » à l’Eglise Conciliaire et, en fin de compte, au monde.
Léon XIII instruit les évêques sur leur grave devoir de démasquer les ennemis de l’Eglise :
« … Il est de la plus haute importance de démasquer et de tirer à la lumière du jour leurs machinations secrètes, pour que les Catholiques, ayant ainsi ouvert leurs yeux aux buts véritables de ces hommes, puissent redoubler de courage eux-mêmes, et puissent être déterminés à défendre l’Eglise, le Pontife Romain et leur propres âmes, publiquement et avec intrépidité. »
Nous ne comprenons donc pas pourquoi les autorités de la FSSPX veulent, par un « accord canonique », instituer un « transfert d’autorité » pour la mettre sous l’influence de ceux contre qui Monseigneur Lefebvre s’est battu si vaillamment, et au sujet desquels il dit que « l’Eglise a été infiltrée par cette Secte jusqu’aux plus hauts niveaux de la hiérarchie, même à Rome. »
Avec une inquiétude grandissante, nous avons aussi vu la FSSPX punir ou expulser impitoyablement et méthodiquement de ses rangs tout membre qui suit la mission de Monseigneur Lefebvre de « restaurer toutes choses dans le Christ ». It semblerait que l’on prépare la maison à recevoir de « nouveaux propriétaires »… et tout doit être arrangé en accord avec ce nouveau goût. D’un autre côté, les laïcs qui s’opposent à ce changement de direction se voient refuser les sacrements. Ceux qui restent [à la FSSPX] devront éventuellement faire un choix entre soutenir la « nouvelle direction » et rester silencieux, ou parler et être expulsés.
SILENCE DE LA FSSPX SUR LES ERREURS
Nous savons que vous avez donné des instructions précises aux membres de la FSSPX de garder le silence sur les graves changements qui s’opèrent au sein de la Fraternité et de ne pas en faire part aux fidèles ; silence sur les graves erreurs des supérieurs [de la FSSPX], silence sur leurs décisions imprudentes, silence à condamner les autorités conciliaires comme le Pape François, etc. De telles actions ne servent qu’à confirmer que les prêtres qui, eux, parlent sont sur le droit chemin.
Voici ce que dit magnifiquement bien l’un des prêtres que vous avez expulsés :
« Il arrive un moment quand le silence devient une grave imprudence, et même coopère avec le péché et l’obscurité. Du haut des chaires de la FSSPX, de ses sites internet, de ses magazines, etc, on entend un profond silence. Un silence qui utilise la « liberté de prudence » comme un manteau pour la malice, un silence qui équivaut à regarder passivement quand notre mère est outragée et violemment ravagée par ceux mêmes qui ont juré à leur ordination de défendre leur Mère l’Eglise » (Lettre Ouverte aux Supérieurs de la FSSPX de Mr l’Abbe Hewko, 21 septembre 2013).
La FSSPX doit revenir sur le chemin qui lui a été trace à l’origine par son Fondateur, c’est-à-dire la résistance ferme aux autorités apostâtes de Rome :
« Tout fidèle peut et doit s’opposer à quiconque dans l’Eglise touche à sa foi, la foi de l’Eglise de toujours, appuyé sur le catéchisme de son enfance. Défendre sa Foi est le premier devoir de tout chrétien, à plus forte raison de tout prêtre et de tout évêque. Dans le cas de tout ordre comportant un danger de corruption de la foi et des mœurs, ‘la désobéissance’ est un devoir grave ». (Monseigneur Lefebvre, Lettre aux Amis et Bienfaiteurs, No 9, 1975).
Monseigneur Lefebvre disait aussi en ce qui concerne le devoir de dénoncer ceux qui mettent la Foi en danger :
« Un Catholique ne doit pas prononcer de jugements irréfléchis sur les fautes et les actions personnelles de ses frères, mais le Christ nous a demandé de préserver la Foi, et comment peut-on faire cela sans jeter un œil critique sur ce qui nous est donne de lire ou d’entendre ? (Lettre Ouverte aux Catholiques Perplexes, Page 76).
De ce fait, Monseigneur, qu’est-il arrive à la primauté de la Foi ? Qu’est-il arrive à « aucun accord jusqu’à ce que Rome revienne à la Tradition ? » Qu’est-il arrive à la preuve de la conversion de Rome donnée par Monseigneur Lefebvre, à savoir que Rome professe tous les enseignements des Papes et les condamnations du Concile de Trente à celles de Pie XII ?
DERNIER APPEL AU SUPERIEUR GENERAL
Si nous avons « tort » et que nous avons « mal compris » les documents et les faits, nous demandons alors humblement une clarification de ce que nous avons exposé dans cette Lettre Ouverte d’Appel, suivant le conseil du Code de Droit Canonique : « Les fidèles ont le droit de recevoir du Clergé les biens spirituels et spécialement les secours nécessaires au salut, conformément aux règles de la discipline ecclésiastique » (Canon 682).
Nous sommes engagés dans une ultime bataille pour les âmes entre Notre-Dame et Satan ; et en conséquence, suite aux activités discutables de la FSSPX mises en lumière dans cette Lettre Ouverte, nous avons le devoir de dénoncer publiquement et de résister à toute déviation doctrinale menant à la mauvaise pente qui entraine la Fraternité vers un esprit de compassion envers la « Nouvelle Rome » et vers un possible accord futur avec la Rome Moderniste, un pas qui mettrait certainement en danger le salut des âmes. Ceci amène à l’inévitable baisse de répugnance envers Vatican II ; une augmentation du désir d’abandonner le combat contre « l’Eglise Conciliaire », et de l’identifier ainsi faussement comme la Sainte Eglise Catholique.
Nous refusons obstinément de retourner dans le giron de l’Eglise Conciliaire !
Nous répétons la devise de Saint Pie X : « Omnia instaurare in Christo » ; et nous vous implorons en tant que Supérieur Général de la FSSPX d’agir en vrai successeur de Mgr Lefebvre, sans honte ni peur.
Que le Cœur Immaculé de Marie triomphe bientôt !
Vôtre dans le Christ et Sa Très Sainte Mère,
[Liste des noms de fidèles d’Australie et d’Asie]