vendredi 28 mai 2021

Avis à ceux qui tergiversent au sujet de la soupe infernale

Chaque période de l'Eglise a connu son combat. Les catholiques doivent, pour rester fidèles, se tenir sur la brèche pour ne pas tomber dans les pièges de l'ennemi. 

Pour le moment, le combat se situe au niveau de la vaccination car tout le monde est ou sera prochainement concerné (professionnels, écoles, familles, etc) .... Or nous savons désormais qu'il ne s'agit pas d'une thérapie (soin médical) puisque ce vaccin n'a pas pour but de protéger d'une maladie quelconque ou d'un virus (totalement bénin), mais qu'il s'agit d'une injection spéciale qui a une finalité précise.

La moralité de l'acte ne dépend pas seulement du produit injecté (développé à partir de lignées cellulaires de fœtus humains avortés et disséqués vivants); elle dépend surtout de la fin, affichée par les responsables depuis bien longtemps, et pour laquelle cette injection a été imposée aux peuples : éliminer une grande partie de la population mondiale et contrôler dans le détail les individus de façon électronique. 

Accepter de recevoir cette soupe chimique, c'est accepter in fine ce pouvoir direct de la Bête sur nos corps et nos âmes. 

Si le clergé est divisé sur cette affaire, c'est d'abord parce que le pape a donné son accord sur cet acte grave. D'autre part, la grande majorité du clergé est ignorante des questions mondialistes et se borne à penser qu'il ne s'agit que d'un problème médical ou de gros sous pour les laboratoires. Le clergé (y compris FSSPX) n'a pratiquement aucune notion du combat anti-mondialiste que les catholiques devraient normalement mener. Même un Mgr Tissier déclarait ces derniers jours au sujet du salaire mondial après le "great reset" que le "smic avait toujours existé". Voilà l'état spirituel et moral d'une grande partie du clergé qui a abandonné les fidèles alors que se lève devant eux la plus puissante œuvre démoniaque de toute l'histoire humaine. Même l'abbé de Jorna, supérieur du district de France a écrit à ses prêtres (BO 273 b, avril 2021), reprenant et développant un titre célèbre du philosophe Marcel De Corte : 

« Il est à craindre qu’un nouveau débat n’envenime la tradition. L’intelligence est en péril de mort, mais il semble bien qu’il n’y ait pas de vaccin. Le voilà le principal danger. La Covid ronge peut-être les poumons, mais son vaccin gangrène les cerveaux. On se dispute, on tranche, on se déchire même. (...) » 

Or il ne s'agit ni du covid ni du vaccin, mais de la soumission des âmes au diable. L'abbé de Jorna semble l'ignorer et il invite finalement ses prêtres à ne pas entrer dans cette polémique, se contentant de faire de l'intellectualisme en chambre. 

D'un autre côté, il reste encore un clergé, très peu nombreux mais décidé à ne pas transiger sur ce combat : l'abbé Lang en Allemagne, ainsi que l'abbé Frey, tous deux de la FSSPX, ont rappelé les bons principes et, contrairement à leurs supérieurs, ont eu le courage de dire la vérité (certes dure) aux fidèles pour qu'ils fassent le bon choix quoi qu'il en coûte. 

En cette octave de la Pentecôte, que l'Esprit-Saint nous communique Sa force et nous garde fidèles ! 

Ci-dessous : 

 Abbé Salenave et la moralité du vaccin,