Mes confrères prêtres, se sont moqués de nous parce que nous tirions la sonnette d'alarme dès le début des injections. Le pire est que certains continuent à affirmer que l' injection n'est pas un acte moralement et physiquement grave et qu'on ne peut blâmer celui qui la conseille comme celui qui le reçoit en raison de la difficulté des temps. On marche vraiment sur la tête !
Il est très facile de blâmer en public l'abbé Salenave pour ses positions moralement "radicales" sur la soupe chimique mais nous aimerions que ces couards en chambre commencent à regarder les victimes, les mutilés, les suicidés qui tombent autour d'eux.
Prions pour les victimes .... mais aussi pour leurs bourreaux.... et dans les bourreaux, il y a les mauvais conseillers que sont de nombreux prêtres à la morale déformée ou tout simplement atteints par la peur de la vérité.
Abbé Matthieu Salenave